Forza nova 's'interdit de donner des "consignes de vote, mais..."
« Le second tour de l'élection municipale de Bastia a un goût amer pour tous ceux qui se préoccupent du futur de notre chère ville. Trois listes de gauche se disputent fauteuils et places. Deux coalitions hétéroclictes, voire contre-nature, prétendent l'emporter. Mais l'une est largement plus nocive que l'autre.
La liste De Caslta-Mondoloni-Zuccarelli incarne ce dont le peuple corse a voulu se débarrasser à tout jamais, a savoir : clientélisme, archaïsme, combines et pratiques douteuses, anti-corsisme. Cette union se traduit par un seul partage du pouvoir et des places. S'y ajoutent les pires délires de la nouvelle gauche française (migrants, revenu universel, etc..). Jean-Martin Mondoloni, se réclamant officiellement d'une « droite régionaliste », trahit, à travers cette « union », la droite, le régionalisme et ses électeurs. D’ailleurs, il ne voit seulement cette élection comme un tremplin pour les futures territoriales.
Dans ce contexte, FORZA NOVA, seule liste de droite dans cette élection, s'interdit de donner des "consignes de vote". Mais nous tenons à alerter les bastiais sur la catastrophe que constituerait le « retour des morts-vivants » de la liste « Unione per Bastia ». »
La liste De Caslta-Mondoloni-Zuccarelli incarne ce dont le peuple corse a voulu se débarrasser à tout jamais, a savoir : clientélisme, archaïsme, combines et pratiques douteuses, anti-corsisme. Cette union se traduit par un seul partage du pouvoir et des places. S'y ajoutent les pires délires de la nouvelle gauche française (migrants, revenu universel, etc..). Jean-Martin Mondoloni, se réclamant officiellement d'une « droite régionaliste », trahit, à travers cette « union », la droite, le régionalisme et ses électeurs. D’ailleurs, il ne voit seulement cette élection comme un tremplin pour les futures territoriales.
Dans ce contexte, FORZA NOVA, seule liste de droite dans cette élection, s'interdit de donner des "consignes de vote". Mais nous tenons à alerter les bastiais sur la catastrophe que constituerait le « retour des morts-vivants » de la liste « Unione per Bastia ». »