C'est le 21 juillet que pour sa 17ème édition s'ouvrira le festival à ouverture du festival Vicu, avec une déambulation des Archetti Bastiacci dans le village, en avant-concert, et « Soirée festive déconfinée » au couvent Saint-François avec Rossini, Saint-Saëns, Christophe Mondoloni et Léa Antona !
Sous le préau en pin laricio d’Evisa, le 22 juillet, en route pour un voyage transgressif et captivant avec « Yanowski et le tango argentin».
Le 23 juillet, « Une soirée de concert entre guitare et piano», sous les oliviers à Coghja, avec la guitariste classique Sandrine Luigi, professeur au conservatoire de musique Henri Tomasi de Bastia, et Stéphane Petitjean. Au programme Haydn, Boccherini, Paganini, Chausson et son «concert pour piano, violon et quatuor à cordes ».
Une soirée lyrique est prévue le vendredi 24 juillet à Rennu, pour un « Chiara di luna » auquel nous invite le ténor Florian Laconi, plus familier du théâtre antique d’Orange que du tilleul sous lequel il chantera place de l’église. Et comme tous les soirs, on retrouve l’orchestre Paris Classik auquel se joint Ghuvan Battistu Paoli à la guitare.
A partir du 25 juillet et jusqu’à la soirée de clôture le 30, le festival investit les extérieurs du couvent Saint-François de Vicu.
Samedi 25 juillet, fidèle à ces partenariats culturels, Sorru in Musica donne son 12ème ciné-concert avec Casa di Lume et Jean Pierre Mattei « L’appel du sang », film de 1919 sur une musique originale composée par Didier Benetti. Une 2è représentation aura lieu le 1er aout à Portivechju à l’ancienne usine à liège.
On retrouve Robin Renucci (récitant) avec Bertrand Cervera (violon), le 26 juillet. Ensemble, sur des musiques de Bach, Ysaÿe, Kreisler et sur des improvisations musicales arabo-andalouses, ils serviront le magnifique texte d’Albert Camus
« Le premier homme », œuvre à laquelle travaillait le prix Nobel de littérature au moment de sa disparition.
Le 8 août, on pourra écouter à nouveau cette lecture-concert, à Pioggiola.
Quintette à cordes, Fiordiligi, Dorabella, Guglielmo….De l’opéra, pour une version contée « Autour de Cosi.. », Cosi fan Tutte de Mozart, le 27 juillet avec notamment la soprano Julia Knecht, le baryton Jean Marc Jonca, par ailleurs directeur artistique du Centre d’Art Polyphonique-Mission Voix de Corse.
Lucie Horsch a 21 ans. Elle vient d’Amsterdam, on entendra cette jeune flûtiste le 28 juillet lors d’ « Une soirée flûte presque baroque » où elle interprétera des œuvres de Vivaldi ,Telemann, Bartók et Berio avec l’orchestre Paris Classik.
Le 29 juillet, un rendez-vous à ne pas manquer, le concert-fiction « N Ú R I A » écrit par Stéphane Michaka pour Sorru in Musica, une fiction au croisement du romanesque et du fantastique interprétée par Marie Pierre Nouveau avec Didier Benetti (piano et composition), Raphaël Perraud (violoncelle) super soliste de l’Orchestre national de France et Bertrand Cervera, violon solo de l’Orchestre national de France, créateur et directeur artistique de Sorru in Musica.
Le lendemain, 30 juillet, ce sera déjà la soirée de clôture « Une histoire de la musique » avec tous les musiciens de Sorru in Musica et les étudiants de l’Académie...
Tous les soirs, les étudiants de l’Académie de musique -qui se déroule en parallèle du festival- se produisent à 20h pour des avant-concerts, lesquels sont précédés à 19h par des causeries à Rennu et sous le tilleul du couvent Saint-François. On y évoquera Pascal Paoli, l’archéologie en Corse, on se retrouvera pour une réunion publique autour du projet “Fabrique de territoire”, pour une séance d’écoute animée par Estru Paisanu-Museu di Corsica ou pour une lecture de John Cage.
Tous les concerts de cette 17è édition ont lieu en plein air
L'association Sorru in Musica mobilise des moyens humains exceptionnels (en régie, à l'organisation...), elle investit dans d'importants moyens sanitaires (masques, gels hydroalcooliques, thermomètres frontaux sans contact) afin que le partage autour de la musique ait bien lieu, dans les meilleures conditions et dans le respect des gestes barrières.
Sous le préau en pin laricio d’Evisa, le 22 juillet, en route pour un voyage transgressif et captivant avec « Yanowski et le tango argentin».
Le 23 juillet, « Une soirée de concert entre guitare et piano», sous les oliviers à Coghja, avec la guitariste classique Sandrine Luigi, professeur au conservatoire de musique Henri Tomasi de Bastia, et Stéphane Petitjean. Au programme Haydn, Boccherini, Paganini, Chausson et son «concert pour piano, violon et quatuor à cordes ».
Une soirée lyrique est prévue le vendredi 24 juillet à Rennu, pour un « Chiara di luna » auquel nous invite le ténor Florian Laconi, plus familier du théâtre antique d’Orange que du tilleul sous lequel il chantera place de l’église. Et comme tous les soirs, on retrouve l’orchestre Paris Classik auquel se joint Ghuvan Battistu Paoli à la guitare.
A partir du 25 juillet et jusqu’à la soirée de clôture le 30, le festival investit les extérieurs du couvent Saint-François de Vicu.
Samedi 25 juillet, fidèle à ces partenariats culturels, Sorru in Musica donne son 12ème ciné-concert avec Casa di Lume et Jean Pierre Mattei « L’appel du sang », film de 1919 sur une musique originale composée par Didier Benetti. Une 2è représentation aura lieu le 1er aout à Portivechju à l’ancienne usine à liège.
On retrouve Robin Renucci (récitant) avec Bertrand Cervera (violon), le 26 juillet. Ensemble, sur des musiques de Bach, Ysaÿe, Kreisler et sur des improvisations musicales arabo-andalouses, ils serviront le magnifique texte d’Albert Camus
« Le premier homme », œuvre à laquelle travaillait le prix Nobel de littérature au moment de sa disparition.
Le 8 août, on pourra écouter à nouveau cette lecture-concert, à Pioggiola.
Quintette à cordes, Fiordiligi, Dorabella, Guglielmo….De l’opéra, pour une version contée « Autour de Cosi.. », Cosi fan Tutte de Mozart, le 27 juillet avec notamment la soprano Julia Knecht, le baryton Jean Marc Jonca, par ailleurs directeur artistique du Centre d’Art Polyphonique-Mission Voix de Corse.
Lucie Horsch a 21 ans. Elle vient d’Amsterdam, on entendra cette jeune flûtiste le 28 juillet lors d’ « Une soirée flûte presque baroque » où elle interprétera des œuvres de Vivaldi ,Telemann, Bartók et Berio avec l’orchestre Paris Classik.
Le 29 juillet, un rendez-vous à ne pas manquer, le concert-fiction « N Ú R I A » écrit par Stéphane Michaka pour Sorru in Musica, une fiction au croisement du romanesque et du fantastique interprétée par Marie Pierre Nouveau avec Didier Benetti (piano et composition), Raphaël Perraud (violoncelle) super soliste de l’Orchestre national de France et Bertrand Cervera, violon solo de l’Orchestre national de France, créateur et directeur artistique de Sorru in Musica.
Le lendemain, 30 juillet, ce sera déjà la soirée de clôture « Une histoire de la musique » avec tous les musiciens de Sorru in Musica et les étudiants de l’Académie...
Tous les soirs, les étudiants de l’Académie de musique -qui se déroule en parallèle du festival- se produisent à 20h pour des avant-concerts, lesquels sont précédés à 19h par des causeries à Rennu et sous le tilleul du couvent Saint-François. On y évoquera Pascal Paoli, l’archéologie en Corse, on se retrouvera pour une réunion publique autour du projet “Fabrique de territoire”, pour une séance d’écoute animée par Estru Paisanu-Museu di Corsica ou pour une lecture de John Cage.
L'association Sorru in Musica mobilise des moyens humains exceptionnels (en régie, à l'organisation...), elle investit dans d'importants moyens sanitaires (masques, gels hydroalcooliques, thermomètres frontaux sans contact) afin que le partage autour de la musique ait bien lieu, dans les meilleures conditions et dans le respect des gestes barrières.
Compte tenu du contexte économique, l’association Sorru in Musica n’a pas sollicité ses annonceurs pour l’aider à éditer sa brochure-programme. Mais pour les remercier de leur fidélité, l’association Sorru in Musica a pris l’initiative de leur offrir l’espace publicitaire.