- Quel est votre sentiment après cette défaite ?
- Il n’est jamais agréable d’essuyer une défaite. Cependant, mon état d’esprit est le même, je souhaite œuvrer pour ma ville. Unione per Bastia est, aujourd’hui, le premier groupe d’opposition. Nous nous montrerons dignes de la confiance que nous ont accordée les 5415 électeurs qui ont voté pour nous.
- 10 points, c’est un écart assez important. Comment l’expliquez-vous ?
- Je ne veux pas fuir mes responsabilités et j’en prends ma part dans ce résultat. Je n’ai pas suffisamment su convaincre les Bastiais des vertus de notre projet. Cependant, une partie de cet écart s’est creusé à Lupino et Montesoro alors que nous avions un programme social riche avec le minimum solidaire garanti et le plan pluriannuel de rénovation du logement social. Et c’est de nature à nous étonner ! Or, la totalité des locataires des logements sociaux de Lupino et de Montesoro ont reçu le courrier de Fabienne Giovannini, présidente de l’Office public de l’habitat de Corse, dans lequel elle faisait la publicité des budgets de dernière minute débloqués par Gilles Simeoni, Président de l’exécutif de Corse, et destinés à la rénovation des appartements. Courrier dans lequel elle enjoignait les résidents à prendre contact avec elle en communiquant son téléphone personnel et son mail particulier. Peut-il être considéré qu’il y aurait un lien de cause à effet ? Il n’y a qu’un petit pas qu’il serait facile de franchir.
- Allez-vous poursuivre votre carrière politique ?
- Déjà, je ne suis pas en politique pour faire carrière. Mon engagement est uniquement lié à la volonté qui est la mienne de me mettre au service de ma ville. Et, je ne compte pas abandonner les électeurs qui nous ont accordé leur confiance. Nous œuvrerons dans l’opposition pour défendre les valeurs que nous portons et redonner à Bastia la place qu’elle mérite.
- Quelle opposition comptez-vous mettre en place ?
- La situation de notre ville, l’économie en panne, la pauvreté, le chômage et son déclassement de Bastia ont motivé notre candidature. Notre analyse de la situation ne change pas. Unione per Bastia sera une opposition constructive et vigilante.
- Quel futur pour cette Union per Bastia ?
- Notre rassemblement s’est scellé sur un constat identique du bilan de la municipalité sortante qui se révèle être extrêmement mauvais et sur une vision programmatique commune. Le ciment de notre union est le même dans l’opposition. Nous allons travailler ensemble pour participer à l’amélioration du quotidien des Bastiais.
- Il n’est jamais agréable d’essuyer une défaite. Cependant, mon état d’esprit est le même, je souhaite œuvrer pour ma ville. Unione per Bastia est, aujourd’hui, le premier groupe d’opposition. Nous nous montrerons dignes de la confiance que nous ont accordée les 5415 électeurs qui ont voté pour nous.
- 10 points, c’est un écart assez important. Comment l’expliquez-vous ?
- Je ne veux pas fuir mes responsabilités et j’en prends ma part dans ce résultat. Je n’ai pas suffisamment su convaincre les Bastiais des vertus de notre projet. Cependant, une partie de cet écart s’est creusé à Lupino et Montesoro alors que nous avions un programme social riche avec le minimum solidaire garanti et le plan pluriannuel de rénovation du logement social. Et c’est de nature à nous étonner ! Or, la totalité des locataires des logements sociaux de Lupino et de Montesoro ont reçu le courrier de Fabienne Giovannini, présidente de l’Office public de l’habitat de Corse, dans lequel elle faisait la publicité des budgets de dernière minute débloqués par Gilles Simeoni, Président de l’exécutif de Corse, et destinés à la rénovation des appartements. Courrier dans lequel elle enjoignait les résidents à prendre contact avec elle en communiquant son téléphone personnel et son mail particulier. Peut-il être considéré qu’il y aurait un lien de cause à effet ? Il n’y a qu’un petit pas qu’il serait facile de franchir.
- Allez-vous poursuivre votre carrière politique ?
- Déjà, je ne suis pas en politique pour faire carrière. Mon engagement est uniquement lié à la volonté qui est la mienne de me mettre au service de ma ville. Et, je ne compte pas abandonner les électeurs qui nous ont accordé leur confiance. Nous œuvrerons dans l’opposition pour défendre les valeurs que nous portons et redonner à Bastia la place qu’elle mérite.
- Quelle opposition comptez-vous mettre en place ?
- La situation de notre ville, l’économie en panne, la pauvreté, le chômage et son déclassement de Bastia ont motivé notre candidature. Notre analyse de la situation ne change pas. Unione per Bastia sera une opposition constructive et vigilante.
- Quel futur pour cette Union per Bastia ?
- Notre rassemblement s’est scellé sur un constat identique du bilan de la municipalité sortante qui se révèle être extrêmement mauvais et sur une vision programmatique commune. Le ciment de notre union est le même dans l’opposition. Nous allons travailler ensemble pour participer à l’amélioration du quotidien des Bastiais.