
Le cunsigliu du PNC
Comme il l'explique dans notre vidéo et ainsi qu'il la développé devant les journalistes, Jean-Christophe Angelini, secrétaire national, pour le PNC, composante de Femu, il faudra au matin du 15 Juin se mettre en ordre de marche.
Avec un seul objectif : "Arriver en tête avec Femu au premier tour, rassembler tous les nationalistes au second pour, enfin, gagner au troisième."
A 6 mois du premier tour des prochaines élections territoriales l'assemblée générale du PNC le 14 Juin - à 14 heures à l'université de Corse - constituera "un rendez-vous capital" dans la vie du Parti, même si elle aura été précédée en amont, ce qui caractérise l'exigence de démocratie du PNC, par des dizaines et des dizaines de réunions et autant de débats à travers toute l'île.
Mais l'exigence de ligne politique commande, aussi, au PNC.
Jean-Christophe Angelini a fait état à, ce propos, de "contexte de grande confusion". "Il y le PNC d'un côté, il y a Inseme, tous deux avec Chjama et d'autres, engagés dans la démarche Femu a Corsica. Il y a des réunions à répétition. Il y a des sigles qui sont jetés dans l'espace public, dont on ne sait pas trop bien pourquoi et à quoi ils correspondent, il y a Corsica Libera etc."
"Il y a comme ça des mouvements qui sont pour beaucoup engagés dans des démarches communes et notamment ceux qui sont engagés dans Femu qui vivent leur vie, mais, il faut le dire clairement , cela suscite une forme de malaise et d'incompréhension dans l'opinion qui ne sait pas bien de quoi demain sera fait".
Mais le secrétaire national du PNC a été clair sur ce plan : "Pour nous il n'y pas d'antinomie, il n'y pas d'opposition, il n'y pas de conflit entre les mouvements d'un côté et Femu a Corsica de l'autre. Notre souhait est qu'au lendemain de notre assemblée générale, nous puissions reprendre le fil des négociations avec nos partenaires pour aboutir à une entrée en campagne rapide et déterminante..."
La suite sur notre vidéo.
François Alfonsi, cadre du PNC et président de l'ALE (Alliance libre européenne) a, pour sa part, rappelé la "dynamique europénne positive" qui anime depuis quelques temps les mouvements nationalistes. "Il faut en prendre conscience" Et de citer les cas de l'Ecosse, de la Catalogne, du Pays Basque.
" La Corse peut, je pense, se raccrocher à cette dynamique générale qui se décline dans d'autres nations européennes . Nous sommes en situation de peser dans un débat qui n'est pas seulement un débat franco-français : c'est un débat européen sur l'avenir des Nations sans Etat, sur l'avenir des peuples qui ,comme le peuple corse ne bénéficie pas de structures étatiques pour être représentée au niveau européen, mais qui devront trouver des voies et des moyens de se faire représenter directement au niveau de l'Europe…"
II dit ses espérances, sur ce plan, en vidéo.
En terminant le Cunsigliu du PNC a lancé un appel en faveur de la manifestation du 13 Janvier à Ajaccio
Avec un seul objectif : "Arriver en tête avec Femu au premier tour, rassembler tous les nationalistes au second pour, enfin, gagner au troisième."
A 6 mois du premier tour des prochaines élections territoriales l'assemblée générale du PNC le 14 Juin - à 14 heures à l'université de Corse - constituera "un rendez-vous capital" dans la vie du Parti, même si elle aura été précédée en amont, ce qui caractérise l'exigence de démocratie du PNC, par des dizaines et des dizaines de réunions et autant de débats à travers toute l'île.
Mais l'exigence de ligne politique commande, aussi, au PNC.
Jean-Christophe Angelini a fait état à, ce propos, de "contexte de grande confusion". "Il y le PNC d'un côté, il y a Inseme, tous deux avec Chjama et d'autres, engagés dans la démarche Femu a Corsica. Il y a des réunions à répétition. Il y a des sigles qui sont jetés dans l'espace public, dont on ne sait pas trop bien pourquoi et à quoi ils correspondent, il y a Corsica Libera etc."
"Il y a comme ça des mouvements qui sont pour beaucoup engagés dans des démarches communes et notamment ceux qui sont engagés dans Femu qui vivent leur vie, mais, il faut le dire clairement , cela suscite une forme de malaise et d'incompréhension dans l'opinion qui ne sait pas bien de quoi demain sera fait".
Mais le secrétaire national du PNC a été clair sur ce plan : "Pour nous il n'y pas d'antinomie, il n'y pas d'opposition, il n'y pas de conflit entre les mouvements d'un côté et Femu a Corsica de l'autre. Notre souhait est qu'au lendemain de notre assemblée générale, nous puissions reprendre le fil des négociations avec nos partenaires pour aboutir à une entrée en campagne rapide et déterminante..."
La suite sur notre vidéo.
François Alfonsi, cadre du PNC et président de l'ALE (Alliance libre européenne) a, pour sa part, rappelé la "dynamique europénne positive" qui anime depuis quelques temps les mouvements nationalistes. "Il faut en prendre conscience" Et de citer les cas de l'Ecosse, de la Catalogne, du Pays Basque.
" La Corse peut, je pense, se raccrocher à cette dynamique générale qui se décline dans d'autres nations européennes . Nous sommes en situation de peser dans un débat qui n'est pas seulement un débat franco-français : c'est un débat européen sur l'avenir des Nations sans Etat, sur l'avenir des peuples qui ,comme le peuple corse ne bénéficie pas de structures étatiques pour être représentée au niveau européen, mais qui devront trouver des voies et des moyens de se faire représenter directement au niveau de l'Europe…"
II dit ses espérances, sur ce plan, en vidéo.
En terminant le Cunsigliu du PNC a lancé un appel en faveur de la manifestation du 13 Janvier à Ajaccio