Auteure à succès dans son pays, la Madrilène est aussi connue pour ses articles et chroniques dans le grand quotidien El Païs.
Son 1er conte, sur des lapins, elle l’a écrit à 5 ans ! Ses romans, thrillers existentiels, sont trépidants, plein de surprises et parlent souvent avec humour du cours du temps, de l’échec, de la mort, de la marginalité, la folie, l’amour, de la gloire, du désir. 12 de ses 20 ouvrages ont été traduits en français.
En 2008, son livre Instructions pour sauver le monde mettait en avant la frustration des humains, leurs souffrances physiques, leurs deuils, leurs échecs mais aussi leur désir de nuire, leur appétit de vengeance, la tendance à avilir tout ce qui peut l'être.
« Aujourd’hui la situation est beaucoup plus sombre avec le réchauffement climatique, le fanatisme extrémiste, la pandémie, la crise économique, la montée de l’intolérance et du sectarisme. Nous sommes dans une période vraiment très préoccupante » explique Rosa Montero.
Son dernier livre La Bonne chance (Editions Metaillé) parle d'amour, de bien, de mal, de réinventer sa vie, et de passer du chagrin à l'amour. «Ce livre est je pense le plus mature que j’ai fait. Je parle du bien et du mal, du grand mal, celui qui n’a pas d’explication. C’est aussi une histoire sur la capacité de la survie de l’être humain. J’ai pu me rendre compte plusieurs fois dans ma vie comment une personne, complètement détruite, était capable de se reconstruire et entamer une vie nouvelle et même meilleure que celle d’avant. Et à notre époque c’est presque magique de faire ça. Ce livre célèbre cette capacité de revivre ».
Vendredi matin, elle est allée à la rencontre des élèves du lycée Jean-Nicoli à Bastia. Une belle rencontre, comme elle nous l’explique en vidéo.
Son 1er conte, sur des lapins, elle l’a écrit à 5 ans ! Ses romans, thrillers existentiels, sont trépidants, plein de surprises et parlent souvent avec humour du cours du temps, de l’échec, de la mort, de la marginalité, la folie, l’amour, de la gloire, du désir. 12 de ses 20 ouvrages ont été traduits en français.
En 2008, son livre Instructions pour sauver le monde mettait en avant la frustration des humains, leurs souffrances physiques, leurs deuils, leurs échecs mais aussi leur désir de nuire, leur appétit de vengeance, la tendance à avilir tout ce qui peut l'être.
« Aujourd’hui la situation est beaucoup plus sombre avec le réchauffement climatique, le fanatisme extrémiste, la pandémie, la crise économique, la montée de l’intolérance et du sectarisme. Nous sommes dans une période vraiment très préoccupante » explique Rosa Montero.
Son dernier livre La Bonne chance (Editions Metaillé) parle d'amour, de bien, de mal, de réinventer sa vie, et de passer du chagrin à l'amour. «Ce livre est je pense le plus mature que j’ai fait. Je parle du bien et du mal, du grand mal, celui qui n’a pas d’explication. C’est aussi une histoire sur la capacité de la survie de l’être humain. J’ai pu me rendre compte plusieurs fois dans ma vie comment une personne, complètement détruite, était capable de se reconstruire et entamer une vie nouvelle et même meilleure que celle d’avant. Et à notre époque c’est presque magique de faire ça. Ce livre célèbre cette capacité de revivre ».
Vendredi matin, elle est allée à la rencontre des élèves du lycée Jean-Nicoli à Bastia. Une belle rencontre, comme elle nous l’explique en vidéo.
Rosa Montero, prix Ulysse 2021 pour l'ensemble de son oeuvre.