ACP
Qui est ACP (Automatic Cartouche Pistolu) ?
- Je me prénomme Anthoni, nom de scène ACP J'ai 31 ans. Je suis originaire d'un petit village de la vallée du Cruzzini. J'ai passé une partie de mon enfance entre la Corse et les Bouches-du-Rhône, j'ai vécu à l'étranger un certain temps. Je suis plombier-chauffagiste, mais jai toujours baigné dans la musique, qu'elle soit urbaine ou traditionnelle. Je suis quelqu'un de plutôt direct "qui ne parle pas chinois", d'où mon nom de scène - Automatic Cartouche Pistolu. J'aime la simplicité, la nature, les gens de cœur et de parole.
- Comment a commencé votre aventure musicale ?
- Naturellement, j'écris et je chante des chansons en corse depuis l'adolescence. J'ai donc essayé de mêler cela avec de la musique urbaine, ce qui s'est avéré accrocheur et mélodieux. J'ai suivi mon instinct en innovant avec réflexion, tout en utilisant mes gènes, mes convictions et mon vécu pour aboutir mon propre projet.
- Quelles sont vos sources d'inspiration ?
- Elles sont multiples. Elles peuvent varier de la musique insulaire - Diana Di l'alba, Surghjenti, Charles Rocchi, Antoine Ciosi, I Messaghjeri, l'Arcusgi ou même I Muvrini ... - au rap français - FF,Psychiatre de la Rime et d'autres - et américain - Tupac, Eminem, Dct Dr - ; En passant par la variété française et ses chanteurs qui ont marqué l'histoire de la chanson par leurs textes et l'émotion de leur interprétation que l'on ne retrouve plus de nos jours.
- Quels sont vos projets ?
- À ce jour, le premier projet est disponible. Il s'agit d'un album de 15 titres, CHJAMA. Un prochain projet est en cours avec une évolution et des belles surprises. De plus, j'espère évidemment me produire sur scène. D'autres projets fleurissent dans mon esprit, mais je préfère laisser le destin et mon assiduité faire les choses. J'essaye de faire un pas après l'autre, surtout que, dans ce métier, j'apprends encore à marcher.
- La crise sanitaire a-t-elle eu un impact sur votre carrière artistique ?
- Evidemment ! Cette crise sans précédent impacte fortement sur le développement du projet. Malheureusement, je ne pense pas être le seul dans ce cas : un grand nombre d'artistes et le milieu de la culture se retrouvent à l'abandon le plus total. J'espère que, dans un futur proche, l'horizon va s'éclaircir pour tout le monde. Concernant les concerts, des demandes ont été faites pour des festivals et autres soirées. Mais dans ce contexte de crise sanitaire, les projets de scène restent en pause.
- Je me prénomme Anthoni, nom de scène ACP J'ai 31 ans. Je suis originaire d'un petit village de la vallée du Cruzzini. J'ai passé une partie de mon enfance entre la Corse et les Bouches-du-Rhône, j'ai vécu à l'étranger un certain temps. Je suis plombier-chauffagiste, mais jai toujours baigné dans la musique, qu'elle soit urbaine ou traditionnelle. Je suis quelqu'un de plutôt direct "qui ne parle pas chinois", d'où mon nom de scène - Automatic Cartouche Pistolu. J'aime la simplicité, la nature, les gens de cœur et de parole.
- Comment a commencé votre aventure musicale ?
- Naturellement, j'écris et je chante des chansons en corse depuis l'adolescence. J'ai donc essayé de mêler cela avec de la musique urbaine, ce qui s'est avéré accrocheur et mélodieux. J'ai suivi mon instinct en innovant avec réflexion, tout en utilisant mes gènes, mes convictions et mon vécu pour aboutir mon propre projet.
- Quelles sont vos sources d'inspiration ?
- Elles sont multiples. Elles peuvent varier de la musique insulaire - Diana Di l'alba, Surghjenti, Charles Rocchi, Antoine Ciosi, I Messaghjeri, l'Arcusgi ou même I Muvrini ... - au rap français - FF,Psychiatre de la Rime et d'autres - et américain - Tupac, Eminem, Dct Dr - ; En passant par la variété française et ses chanteurs qui ont marqué l'histoire de la chanson par leurs textes et l'émotion de leur interprétation que l'on ne retrouve plus de nos jours.
- Quels sont vos projets ?
- À ce jour, le premier projet est disponible. Il s'agit d'un album de 15 titres, CHJAMA. Un prochain projet est en cours avec une évolution et des belles surprises. De plus, j'espère évidemment me produire sur scène. D'autres projets fleurissent dans mon esprit, mais je préfère laisser le destin et mon assiduité faire les choses. J'essaye de faire un pas après l'autre, surtout que, dans ce métier, j'apprends encore à marcher.
- La crise sanitaire a-t-elle eu un impact sur votre carrière artistique ?
- Evidemment ! Cette crise sans précédent impacte fortement sur le développement du projet. Malheureusement, je ne pense pas être le seul dans ce cas : un grand nombre d'artistes et le milieu de la culture se retrouvent à l'abandon le plus total. J'espère que, dans un futur proche, l'horizon va s'éclaircir pour tout le monde. Concernant les concerts, des demandes ont été faites pour des festivals et autres soirées. Mais dans ce contexte de crise sanitaire, les projets de scène restent en pause.
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