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« En ce début avril, la situation sanitaire et le re-confinement auquel le gouvernement nous contraint n’atteint pas la détermination des salariés à se faire entendre » déclare Charles Casabianca, de l’UD CGT Haute-Corse.
« Les mobilisations se multiplient sous des formes souvent très différentes sur l’ensemble du territoire. Dans ce mouvement, la date du 8 avril semble dessiner le premier pas d'une possible convergence. Si les luttes empruntent souvent des formes très différentes, les revendications que les salariés y défendent décrivent la même réalité et expriment la même volonté : celle d'agir pour le maintien et le développement de leur emploi, contre la généralisation de la précarité, pour une revalorisation de leur salaire.
Dans de nombreux territoires les actions pour le maintien d’une entreprise, de services publics de proximités mobilisent, au-delà des salariés concernés, tous ceux qui souhaitent continuer à pouvoir y vivre dignement. Ces luttes rassemblant largement la population ont déjà permis d'obtenir des victoires. Victoires qui encouragent l’engagement et la détermination de celles en cours.
Indéniablement, en ce début de printemps, ce foisonnement d’action cherche à se donner un moment commun, être actif et construire cette convergence dont les salariés ont besoin pour faire aboutir leurs revendications et tracer les contours d’un autre avenir.
Si l’on constate que nationalement les riches ont été plus riches en 2020 il en est de même pour la précarité. Les travailleurs sont dans les mêmes proportions plus pauvres en 2020 et de nombreux salariés, sans emploi, précaires tombent massivement dans l’extrême pauvreté ».
Pour toutes ces raisons l’UD CGT appelle donc à un rassemblement ce jeudi 8 avril à 10H devant la préfecture de Bastia.
« Ce rassemblement se fera dans le respect des règles sanitaires, ces dernières ne doivent pas empêcher les citoyen(ne)s d’exprimer leurs mécontentements, revendiquer de pouvoir vivre dignement, ne plus subir la crise, la précarité, la pauvreté et demander un véritable changement de paradigme politique » conclut Charles Casabianca.
« Les mobilisations se multiplient sous des formes souvent très différentes sur l’ensemble du territoire. Dans ce mouvement, la date du 8 avril semble dessiner le premier pas d'une possible convergence. Si les luttes empruntent souvent des formes très différentes, les revendications que les salariés y défendent décrivent la même réalité et expriment la même volonté : celle d'agir pour le maintien et le développement de leur emploi, contre la généralisation de la précarité, pour une revalorisation de leur salaire.
Dans de nombreux territoires les actions pour le maintien d’une entreprise, de services publics de proximités mobilisent, au-delà des salariés concernés, tous ceux qui souhaitent continuer à pouvoir y vivre dignement. Ces luttes rassemblant largement la population ont déjà permis d'obtenir des victoires. Victoires qui encouragent l’engagement et la détermination de celles en cours.
Indéniablement, en ce début de printemps, ce foisonnement d’action cherche à se donner un moment commun, être actif et construire cette convergence dont les salariés ont besoin pour faire aboutir leurs revendications et tracer les contours d’un autre avenir.
Si l’on constate que nationalement les riches ont été plus riches en 2020 il en est de même pour la précarité. Les travailleurs sont dans les mêmes proportions plus pauvres en 2020 et de nombreux salariés, sans emploi, précaires tombent massivement dans l’extrême pauvreté ».
Pour toutes ces raisons l’UD CGT appelle donc à un rassemblement ce jeudi 8 avril à 10H devant la préfecture de Bastia.
« Ce rassemblement se fera dans le respect des règles sanitaires, ces dernières ne doivent pas empêcher les citoyen(ne)s d’exprimer leurs mécontentements, revendiquer de pouvoir vivre dignement, ne plus subir la crise, la précarité, la pauvreté et demander un véritable changement de paradigme politique » conclut Charles Casabianca.
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