Il y a foule en ce dimanche matin près de l’Hôtel de Ville. A l’initiative de Laurent Marcangeli, maire d’Ajaccio, de nombreux dirigeants et anciens joueurs des clubs insulaires sont déjà. Une foule intergénérationnelle où l’on aperçoit les trois anciens du GFCA, Charly Taverni, Pascal Risterucci et José Kervella. Non loin de là, Jeannot Vincenti, légende du Sporting, Batti Gentili, Antoine Graziani, Paul Orsatti, Charles Angeletti, pour les plus anciens. Laurent Muselli, Jean-Marie Ferri, Vincent Liotta, et, plus près de nous, Stéphane Romani ou encore Jean-Toussaint Moretti.
Côté dirigeants, on aperçoit Christophe Ettori, directeur sportif du GFCA, Pierre Feracci, président du Paris FC, ou encore Antoine Exiga, président des volleyeurs du GFCA. Et, venu en toute simplicité, un certain…Claude Puel.
En l’absence du Variété Club de France, dont les membres seront finalement retardés, la cérémonie a tout de même lieu. Le premier magistrat de la Ville rappelle en citant le Variété, quelques anciennes légendes du football qui le composent.
Jean-Jules Miniconi, président de l’Amicale des Anciens du GFCA, n’omet pas de mentionner le caractère convivial de cette journée. Ne manquant pas de préciser en guise de conclusion, que « Les Corses n’ont de leçon à recevoir de personne... » Allusion faite aux récents dérapages médiatiques subis par l’île. Le ton est donné.
Et la délégation prend le chemin du stade François-Coty.
La journée peut commencer…
Côté dirigeants, on aperçoit Christophe Ettori, directeur sportif du GFCA, Pierre Feracci, président du Paris FC, ou encore Antoine Exiga, président des volleyeurs du GFCA. Et, venu en toute simplicité, un certain…Claude Puel.
En l’absence du Variété Club de France, dont les membres seront finalement retardés, la cérémonie a tout de même lieu. Le premier magistrat de la Ville rappelle en citant le Variété, quelques anciennes légendes du football qui le composent.
Jean-Jules Miniconi, président de l’Amicale des Anciens du GFCA, n’omet pas de mentionner le caractère convivial de cette journée. Ne manquant pas de préciser en guise de conclusion, que « Les Corses n’ont de leçon à recevoir de personne... » Allusion faite aux récents dérapages médiatiques subis par l’île. Le ton est donné.
Et la délégation prend le chemin du stade François-Coty.
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