La mobilisation des agents de la Collectivité Territoriale de Corse lors du rassemblement du jeudi 5 février, a montré leur détermination à s'opposer au projet qui vise à déplacer notre Collectivité sur la commune de Sarrola au beau milieu d'un centre commercial, sans aucune raison valable.
Cette mobilisation massive est aussi la preuve d'une solidarité qui se situe bien au-delà de la problématique du centre-ville ajaccien et qui prouve l'intérêt des agents de la CTC pour leur outil de travail.
L’intersyndicale (STC, CFDT, CFE-CGC, CGT, FO, FA-FPT) veut souligner la parfaite tenue de ce rassemblement grâce à la responsabilité des agents de la CTC, venus de toute la Corse.
L'abandon de ce projet est aujourd’hui la condition sine qua non à l'ouverture d'un dialogue social autour de la question de la politique immobilière de notre Collectivité.
Enfin, il est à souligner que les syndicats sont indépendants et ne font l'objet d'aucune manipulation. Ils sont des acteurs essentiels au bon fonctionnement de la démocratie. Leur prêter des méthodes fascistes est une insulte aux combats menés depuis toujours pour la défense des droits des salariés. De tels propos, qui nous ramènent aux heures les plus sombres de l’Histoire, n’ont pas leur place dans une assemblée des représentants du peuple.
Cette mobilisation massive est aussi la preuve d'une solidarité qui se situe bien au-delà de la problématique du centre-ville ajaccien et qui prouve l'intérêt des agents de la CTC pour leur outil de travail.
L’intersyndicale (STC, CFDT, CFE-CGC, CGT, FO, FA-FPT) veut souligner la parfaite tenue de ce rassemblement grâce à la responsabilité des agents de la CTC, venus de toute la Corse.
L'abandon de ce projet est aujourd’hui la condition sine qua non à l'ouverture d'un dialogue social autour de la question de la politique immobilière de notre Collectivité.
Enfin, il est à souligner que les syndicats sont indépendants et ne font l'objet d'aucune manipulation. Ils sont des acteurs essentiels au bon fonctionnement de la démocratie. Leur prêter des méthodes fascistes est une insulte aux combats menés depuis toujours pour la défense des droits des salariés. De tels propos, qui nous ramènent aux heures les plus sombres de l’Histoire, n’ont pas leur place dans une assemblée des représentants du peuple.
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