Les dirigeants du GFCA Volley se veulent ambitieux pour la prochaine saison.
« Oui, la déception est toujours présente, car la montée était à notre portée, mais nous avons montré que nous avions le niveau pour battre les meilleurs », s’enthousiasme Paul Muracciole, le président du GFCA Volley, lors de la conférence de presse de fin de saison, qui s’est déroulée ce lundi au sein de l’hôtel Marina Viva de Porticcio, le principal sponsor privé du club gazier.
Après une saison aboutie, le GFCA Volley, deuxième de la saison régulière de Ligue B, a failli créer l’exploit, après un match aller perdu à domicile, en allant remporter le match retour à Cannes, avant de céder au set en or (15-12) au Palais des Victoires devant près de 3 500 personnes. Un final en apothéose, mais au scénario morose pour un club, qui tend à se reconstruire après quelques années de galère et de dissensions, qui l’ont amené dans cette deuxième division du volley-ball hexagonal.
Un club qui se reconstruit et progresse chaque année
Aujourd’hui, le club semble guéri et poursuit sa marche en avant pour retrouver ses lettres de noblesse, et cette Ligue A, quittée il y a plus de 3 ans. « Chaque année, nous nous rapprochons un peu plus de la Ligue A. Il ne faut pas non griller les étapes, nous avons surtout besoin d’asseoir le club économiquement parlant. Nous manquons toujours de ressources financières et même de moyens techniques, comme des créneaux d’entraînements pour toutes nos équipes et il faut que tout le monde tire dans le même sens pour retrouver la Ligue A. Nous avons attiré près de 2 000 spectateurs à chaque rencontre lors des play-offs alors que la finale de Ligue A s’est déroulée hier à Tours devant 3 800 personnes ! C’est énorme et nous tenons à remercier le public pour son soutien tout au long de la saison ».
Après une saison aboutie, le GFCA Volley, deuxième de la saison régulière de Ligue B, a failli créer l’exploit, après un match aller perdu à domicile, en allant remporter le match retour à Cannes, avant de céder au set en or (15-12) au Palais des Victoires devant près de 3 500 personnes. Un final en apothéose, mais au scénario morose pour un club, qui tend à se reconstruire après quelques années de galère et de dissensions, qui l’ont amené dans cette deuxième division du volley-ball hexagonal.
Un club qui se reconstruit et progresse chaque année
Aujourd’hui, le club semble guéri et poursuit sa marche en avant pour retrouver ses lettres de noblesse, et cette Ligue A, quittée il y a plus de 3 ans. « Chaque année, nous nous rapprochons un peu plus de la Ligue A. Il ne faut pas non griller les étapes, nous avons surtout besoin d’asseoir le club économiquement parlant. Nous manquons toujours de ressources financières et même de moyens techniques, comme des créneaux d’entraînements pour toutes nos équipes et il faut que tout le monde tire dans le même sens pour retrouver la Ligue A. Nous avons attiré près de 2 000 spectateurs à chaque rencontre lors des play-offs alors que la finale de Ligue A s’est déroulée hier à Tours devant 3 800 personnes ! C’est énorme et nous tenons à remercier le public pour son soutien tout au long de la saison ».
Matej Patak, une recrue de choix
Le GFCA Volley poursuit son travail et a ainsi présenté son effectif pour la saison à venir. Frédéric Ferrandez, le coach ajaccien, prévient : « Nous aurons une équipe à fort potentiel avec des individualités très fortes, à nous maintenant de travailler ensemble pour que la mayonnaise prenne. L’objectif est clair, il est le même que la saison dernière : l’accession en Ligue A ! »
Thomas Gill, le passeur parti à Toulouse, Theo Conré à Montpellier auxquels s’ajoutent les départs de Carreno, le libéro et Sebastian Roatta, le club a dû s’atteler à reconstruire la moitié de son effectif.
Parmi les arrivées, le club a misé sur Grosnon (libéro de Cambrai), Neraudau et Salles (passeur et central de Mende), sur un jeune issu du PUC, Le Roux. Mais la recrue phare se nomme Matej Patak : le réceptionneur/attaquant de Nancy, champion de France avec Chaumont. International slovaque, et blessé cette saison, le joueur d’1,97 semble avoir retrouvé la forme en fin de saison avec Nancy, terminant trois fois MVP, il devrait faire chavirer de bonheur le Palatinu. D’autant que malgré quelques offres venues notamment de son pays natal, Bala le pointu brésilien repart au combat avec le club gazier. À noter enfin que Victor Socié, joueur du centre de formation, va signer un contrat pro et complétera donc l’effectif rouge et bleu.
Avec un budget aux alentours des 800 000 €, le club ajaccien ne peut pas se permettre de folie au niveau de son train de vie. Pourtant, il continue à fidéliser et à attirer un public jeune et familial de plus en plus nombreux chaque week-end au Palatinu, le tout dans une ambiance conviviale et chaleureuse. Oui, la fièvre du volley-ball semble avoir gagné la cité impériale. De bon augure pour la prochaine saison.
Le GFCA Volley poursuit son travail et a ainsi présenté son effectif pour la saison à venir. Frédéric Ferrandez, le coach ajaccien, prévient : « Nous aurons une équipe à fort potentiel avec des individualités très fortes, à nous maintenant de travailler ensemble pour que la mayonnaise prenne. L’objectif est clair, il est le même que la saison dernière : l’accession en Ligue A ! »
Thomas Gill, le passeur parti à Toulouse, Theo Conré à Montpellier auxquels s’ajoutent les départs de Carreno, le libéro et Sebastian Roatta, le club a dû s’atteler à reconstruire la moitié de son effectif.
Parmi les arrivées, le club a misé sur Grosnon (libéro de Cambrai), Neraudau et Salles (passeur et central de Mende), sur un jeune issu du PUC, Le Roux. Mais la recrue phare se nomme Matej Patak : le réceptionneur/attaquant de Nancy, champion de France avec Chaumont. International slovaque, et blessé cette saison, le joueur d’1,97 semble avoir retrouvé la forme en fin de saison avec Nancy, terminant trois fois MVP, il devrait faire chavirer de bonheur le Palatinu. D’autant que malgré quelques offres venues notamment de son pays natal, Bala le pointu brésilien repart au combat avec le club gazier. À noter enfin que Victor Socié, joueur du centre de formation, va signer un contrat pro et complétera donc l’effectif rouge et bleu.
Avec un budget aux alentours des 800 000 €, le club ajaccien ne peut pas se permettre de folie au niveau de son train de vie. Pourtant, il continue à fidéliser et à attirer un public jeune et familial de plus en plus nombreux chaque week-end au Palatinu, le tout dans une ambiance conviviale et chaleureuse. Oui, la fièvre du volley-ball semble avoir gagné la cité impériale. De bon augure pour la prochaine saison.
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