Ce mercredi 15 mai, devant la sous-préfecture de Corte, une cinquantaine de personnes issues des organisations associatives, politiques et syndicales du Muvimentu Naziunale se sont réunies pour exprimer, une fois de plus, leur opposition à ce qu'ils considèrent comme une "répression politique" inacceptable.
Ce rassemblement fait suite à une première réunion tenue à Corti le 22 avril dernier, lors de laquelle les nationalistes avaient déjà dénoncé les mesures répressives qu'ils estiment injustes. A l'issue de cette première réunion les partis politiques Femu a Corsica, PNC, et Core in Fronte, ainsi que le syndicat STC et les syndicats étudiants Ghjuventù in Core, Ghjuventù Paolina, et Ghjuventù Indipendentista ainsi que les collectifs Aiutu Patriotticu, Aiutu Paisanu et Patriotti in Lotta avaient signé une déclaration commune, adressée "solennellement" à l'État français, dénonçant des "arrestations violentes", des détentions prolongées, des assignations à résidence en dehors de la Corse, des "relances des amendes sur les anciens prisonniers politiques", une "répression sévère lors des manifestations du printemps 2022", ainsi qu'un "maintien et une intensification des poursuites liées au FIJAIT".
Au cours de ce nouveau rassemblement, mercredi soir, le mouvement a réitéré son appel à l'Etat à mettre fin aux diverses formes de répression subies par les militants nationalistes corses. "Arrestations, condamnations, amendes, les militants attendent des réponses claires du gouvernement", ont-ils exprimé d'une seule voix. Le mouvement, a souligné l'importance de cette mobilisation collective dans un communiqué lu par Felix Benedetti : "Nous rappelons que les questions politiques liées à la répression ne peuvent être dissociées du processus en cours. Elles doivent faire partie d’un accord global pour résoudre nos conflits."
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Les nationalistes estiment que ces pratiques répressives entravent la résolution des conflits historiques en Corse, appelant ainsi l'État français à prendre en considération leurs demandes pour parvenir à une résolution durable des tensions.
Ce rassemblement fait suite à une première réunion tenue à Corti le 22 avril dernier, lors de laquelle les nationalistes avaient déjà dénoncé les mesures répressives qu'ils estiment injustes. A l'issue de cette première réunion les partis politiques Femu a Corsica, PNC, et Core in Fronte, ainsi que le syndicat STC et les syndicats étudiants Ghjuventù in Core, Ghjuventù Paolina, et Ghjuventù Indipendentista ainsi que les collectifs Aiutu Patriotticu, Aiutu Paisanu et Patriotti in Lotta avaient signé une déclaration commune, adressée "solennellement" à l'État français, dénonçant des "arrestations violentes", des détentions prolongées, des assignations à résidence en dehors de la Corse, des "relances des amendes sur les anciens prisonniers politiques", une "répression sévère lors des manifestations du printemps 2022", ainsi qu'un "maintien et une intensification des poursuites liées au FIJAIT".
Au cours de ce nouveau rassemblement, mercredi soir, le mouvement a réitéré son appel à l'Etat à mettre fin aux diverses formes de répression subies par les militants nationalistes corses. "Arrestations, condamnations, amendes, les militants attendent des réponses claires du gouvernement", ont-ils exprimé d'une seule voix. Le mouvement, a souligné l'importance de cette mobilisation collective dans un communiqué lu par Felix Benedetti : "Nous rappelons que les questions politiques liées à la répression ne peuvent être dissociées du processus en cours. Elles doivent faire partie d’un accord global pour résoudre nos conflits."
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Les nationalistes estiment que ces pratiques répressives entravent la résolution des conflits historiques en Corse, appelant ainsi l'État français à prendre en considération leurs demandes pour parvenir à une résolution durable des tensions.