Petru-Anto Tomasi, était le candidat du parti indépendantiste Corsica Libera dans la 1ère circonscription de Haute-Corse
Corsica Libera qui a porté son soutien à Jean-Paul Carrolaggi dans la première circonscription de Corse-du-Sud, et présenté Petru Antone Tomasi dans la première circonscription de Haute-Corse, a indiqué ce mercredi qu'il ne ne soutiendra pas les trois candidats Femu (Romain Colonna, Jean-Félix Acquaviva, et Michel Castellani) au second tour des élections législatives et que c'est Femu le responsable de la "division de ce scrutin".
En 2017, les trois députés nationalistes avaient été élus sous la bannière de la coalition nationaliste Pè a Corsica qui réunissait Femu a Corsica, le PNC et Corsica Libera. "Pour avoir rompu unilatéralement l’accord politique Pè a Corsica qui avait permis (...) la victoire des forces du mouvement national, Femu a Corsica porte l’entière responsabilité de la division" des nationalistes aux législatives," écrit Corsica Libera dans un communiqué. "La remise en cause de cet accord historique" a conduit à "un repositionnement de Femu a Corsica sur une ligne politique qui tend à occulter les revendications fondamentales du nationalisme corse", ajoute le parti indépendantiste, estimant que cette ligne politique "tend à ressembler (...) à des démarches que nous avons hier combattues. En conséquence, cette situation ne peut conduire à apporter notre soutien aux candidats de Femu a Corsica présents au second tour",
Si Michel Castellani dans la première circonscription de Haute-Corse affiche une confortable avance sur Julien Morganti au premier tour, Jean-Felix Acquaviva dans la seconde circonscription de Haute-Corse et Romain Colonna, dans la première circonscription de Corse-du-Sud, sont dans des situations plus délicates. Bien qu'arrivé en tête au premier tour avec 33,5%, Jean-Felix Acquaviva est talonné par François-Xavier Ceccoli (29,1%) et Lionel Mortini, a pris la troisième place avec 19% des voix, sans pouvoir se maintenir. La désunion nationaliste pourrait donc peser au second tour.
Le candidat Femu Romain Colonna, dans la première circonscription de Corse-du-Sud, est dans une situation plus délicate. Le candidat de Femu arrivé second avec 17,5% des voix, loin derrière l'homme fort de l'opposition de droite, Laurent Marcangeli (33,7%) et devant Jean-Paul Carrolaggi, candidat de l'alliance nationaliste de 2017, soutenu par le PNC et Corsica Libera, qui a obtenu 12,7%. Pour avoir une chance de l'emporter, Romain Colonna a donc au moins besoin du report des voix de Jean-Paul Carrolaggi.
En 2017, les trois députés nationalistes avaient été élus sous la bannière de la coalition nationaliste Pè a Corsica qui réunissait Femu a Corsica, le PNC et Corsica Libera. "Pour avoir rompu unilatéralement l’accord politique Pè a Corsica qui avait permis (...) la victoire des forces du mouvement national, Femu a Corsica porte l’entière responsabilité de la division" des nationalistes aux législatives," écrit Corsica Libera dans un communiqué. "La remise en cause de cet accord historique" a conduit à "un repositionnement de Femu a Corsica sur une ligne politique qui tend à occulter les revendications fondamentales du nationalisme corse", ajoute le parti indépendantiste, estimant que cette ligne politique "tend à ressembler (...) à des démarches que nous avons hier combattues. En conséquence, cette situation ne peut conduire à apporter notre soutien aux candidats de Femu a Corsica présents au second tour",
Si Michel Castellani dans la première circonscription de Haute-Corse affiche une confortable avance sur Julien Morganti au premier tour, Jean-Felix Acquaviva dans la seconde circonscription de Haute-Corse et Romain Colonna, dans la première circonscription de Corse-du-Sud, sont dans des situations plus délicates. Bien qu'arrivé en tête au premier tour avec 33,5%, Jean-Felix Acquaviva est talonné par François-Xavier Ceccoli (29,1%) et Lionel Mortini, a pris la troisième place avec 19% des voix, sans pouvoir se maintenir. La désunion nationaliste pourrait donc peser au second tour.
Le candidat Femu Romain Colonna, dans la première circonscription de Corse-du-Sud, est dans une situation plus délicate. Le candidat de Femu arrivé second avec 17,5% des voix, loin derrière l'homme fort de l'opposition de droite, Laurent Marcangeli (33,7%) et devant Jean-Paul Carrolaggi, candidat de l'alliance nationaliste de 2017, soutenu par le PNC et Corsica Libera, qui a obtenu 12,7%. Pour avoir une chance de l'emporter, Romain Colonna a donc au moins besoin du report des voix de Jean-Paul Carrolaggi.
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