Montauban, Toulouse, Charlie Hebdo, Montrouge, la porte de Vincennes, les terrasses de café de Paris, le Stade de France, le Bataclan, Saint Quentin-Fallavier, Magnanville, Nice et Saint Etienne du Rouvray… La litanie mortifère du terrorisme islamique n’a de cesse d’augmenter !
Ici et là, on parle de valeurs, de valeurs républicaines à défendre pour certains, de valeurs des droits de l’humanité pour d’autres. Nous ne cessons de protester, de réclamer la mise en place de mesures concrètes et applicables immédiatement sur le territoire national pour mettre hors d’état de nuire les réseaux djihadistes. Serions-nous tous devenus aveugles pour se contenter uniquement d’organiser des minutes de silence et crier avant tout au « pas d’amalgame » ?
Osons parler, osons dire les choses : Il y a en France une conquête islamique menée par les Frères Musulmans relatée notamment dans les derniers ouvrages de Gilles Kepel, Michèle Tribalat, Elisabeth Schemla, Malika Sorel-Sutter et Pascal Perrineau. Pour l’écrivain Boualem Sansal : « L’islamisme est un courant de pensée ancien qui traverse tout le monde musulman qui est consubstantiel à l’islam, qui a un projet politique et religieux planétaire. Il a ses élites et elles sont nombreuses et redoutables de savoir-faire et de finesse ; il a ses cadres obéissants et efficaces, organisés en d’innombrables associations qui prêchent, organisent, recrutent, encadrent. Il a ses voyous qui tuent, volent et violent. Il a des complices dans tous les milieux, en Occident notamment, des idiots utiles ou des stratèges. L’islamisme en France a déjà une petite histoire, il a tué quelques centaines de personnes. Il a une petite dizaine de héros et de bienheureux dans son martyrologue, de Kelkal aux Kouachi. Il finira pour notre malheur par s’affirmer, s’organiser et lever une véritable armée. »
Le constat est dressé, il est impitoyable de vérité.
Dans un premier temps, La Fédération Les Républicains de la Haute-Corse demande l’expulsion et l’enfermement de tous les Fichés S recensés dans l’île dans le but évident de protéger notre population.
L’immédiateté de cette mesure doit ensuite s’accompagner d’un vaste programme pour éradiquer le terrorisme islamique. A savoir : la création d’une grande agence du renseignement, l’interdiction du port du voile dans l’espace public, la mise en œuvre des prêches en langue française dans les mosquées, l’inscription des racines Chrétiennes de la France dans la Constitution.
Au niveau insulaire, nous prenons acte de la résolution de l’Assemblée de Corse. Mais il s’agit de bien comprendre que ce sont des efforts de guerre qu’il faut mener car nous sommes en guerre. Oui, osons les mots, nous sommes en guerre, en guerre contre un terrorisme forcément imprévisible. Nous demandons le renforcement des moyens militaires consacrés à la surveillance de nos plages qui sont une cible stratégique de prime importance pour l’arrivée de djihadistes sur notre sol.
En outre, nous organiserons à la rentrée une commission sur le terrorisme islamique en Corse. Nous invitons l’ensemble de la population à y participer. Les travaux porteront sur le renforcement de la prévention situationnelle, le développement de la technologie sécuritaire et la diversification des formes de renseignement : renseignement technologique, renseignement sous couverture (Under cover), cyberattaque et actions clandestines.
Unie et rassemblée dans sa diversité politique et culturelle, la Corse doit se préserver de la menace.
Ici et là, on parle de valeurs, de valeurs républicaines à défendre pour certains, de valeurs des droits de l’humanité pour d’autres. Nous ne cessons de protester, de réclamer la mise en place de mesures concrètes et applicables immédiatement sur le territoire national pour mettre hors d’état de nuire les réseaux djihadistes. Serions-nous tous devenus aveugles pour se contenter uniquement d’organiser des minutes de silence et crier avant tout au « pas d’amalgame » ?
Osons parler, osons dire les choses : Il y a en France une conquête islamique menée par les Frères Musulmans relatée notamment dans les derniers ouvrages de Gilles Kepel, Michèle Tribalat, Elisabeth Schemla, Malika Sorel-Sutter et Pascal Perrineau. Pour l’écrivain Boualem Sansal : « L’islamisme est un courant de pensée ancien qui traverse tout le monde musulman qui est consubstantiel à l’islam, qui a un projet politique et religieux planétaire. Il a ses élites et elles sont nombreuses et redoutables de savoir-faire et de finesse ; il a ses cadres obéissants et efficaces, organisés en d’innombrables associations qui prêchent, organisent, recrutent, encadrent. Il a ses voyous qui tuent, volent et violent. Il a des complices dans tous les milieux, en Occident notamment, des idiots utiles ou des stratèges. L’islamisme en France a déjà une petite histoire, il a tué quelques centaines de personnes. Il a une petite dizaine de héros et de bienheureux dans son martyrologue, de Kelkal aux Kouachi. Il finira pour notre malheur par s’affirmer, s’organiser et lever une véritable armée. »
Le constat est dressé, il est impitoyable de vérité.
Dans un premier temps, La Fédération Les Républicains de la Haute-Corse demande l’expulsion et l’enfermement de tous les Fichés S recensés dans l’île dans le but évident de protéger notre population.
L’immédiateté de cette mesure doit ensuite s’accompagner d’un vaste programme pour éradiquer le terrorisme islamique. A savoir : la création d’une grande agence du renseignement, l’interdiction du port du voile dans l’espace public, la mise en œuvre des prêches en langue française dans les mosquées, l’inscription des racines Chrétiennes de la France dans la Constitution.
Au niveau insulaire, nous prenons acte de la résolution de l’Assemblée de Corse. Mais il s’agit de bien comprendre que ce sont des efforts de guerre qu’il faut mener car nous sommes en guerre. Oui, osons les mots, nous sommes en guerre, en guerre contre un terrorisme forcément imprévisible. Nous demandons le renforcement des moyens militaires consacrés à la surveillance de nos plages qui sont une cible stratégique de prime importance pour l’arrivée de djihadistes sur notre sol.
En outre, nous organiserons à la rentrée une commission sur le terrorisme islamique en Corse. Nous invitons l’ensemble de la population à y participer. Les travaux porteront sur le renforcement de la prévention situationnelle, le développement de la technologie sécuritaire et la diversification des formes de renseignement : renseignement technologique, renseignement sous couverture (Under cover), cyberattaque et actions clandestines.
Unie et rassemblée dans sa diversité politique et culturelle, la Corse doit se préserver de la menace.
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