Elle l'affirmait à tous ceux qui l'interrogeait sur sa passion : "J'ai chanté avant de parler ,je n'ai pas choisi , c'est ainsi "« chanter ? c’est carrément vital. Un cadeau ».
Et ce cadeau Jacky Micaelli l'a fait apprécier à toutes les personnes qui se sont intéressées à sa carrière.
De ses débuts en 1983 dans la polyphonie avec Vincent Orsini et le poète Bartolomeu Dolovici à Bastia, jusqu'à ses derniers instants sur scène.
Il est vrai que son talent, vite reconnu, lui a permis de mener une belle et riche carrière.
Avec pour commencer ce succès au concours de chant de Radio France, sa prestation à Corbara lors de l'interprétation de l'oratorio de "Gesù al Sepolcro", chanté ensuite à la Fenice de Venise, à Lourdes, à la Scala di Milan ou bien encore au festival de la Chaise-Dieu.
Elle se distingue aussi au Printemps de Bourges puis chante aussi bien le jazz et le classique avec le même bonheur et on le retrouv aussi bien aux côtés de Jacques Higelin qu'avec l'ensemble Organum ou avec le groupe Tavagna.
Donnisulana, le Texas, le Japon, l'Europe, un premier CD, le grand prix du disque de l'académie Charles Cros, le Choc du Monde et le diapason d'or, une multitude d'autres grands rendez-vous, un deuxième puis un troisième CD, puis un double album, etc : Jacky Micaelli a traversé toutes ces années avec succès mais sans perdre jamais de vue, sa formidable envie de transmettre.
"La tradition ce n’est pas uniquement ce qui a existé jadis et qu’il faut conserver tel quel . C’est un héritage, un legs à recueillir, assumer, conserver mais aussi entretenir et faire fructifier en le renouvelant, afin de jeter un pont entre passé et présent : le présent prolonge le passé , le passé vit dans le présent qui prépare le futur, et pour ce futur le passé et le présent deviendront passé" avait elle l'habitude de dire.
Elle aura beaucoup transmis. Mais beaucoup laissé aussi.
Jacky Micaelli nous a quittés.
Mais sa voix nous accompagnera pendant longtemps encore.
Ecoutez-la.
Et ce cadeau Jacky Micaelli l'a fait apprécier à toutes les personnes qui se sont intéressées à sa carrière.
De ses débuts en 1983 dans la polyphonie avec Vincent Orsini et le poète Bartolomeu Dolovici à Bastia, jusqu'à ses derniers instants sur scène.
Il est vrai que son talent, vite reconnu, lui a permis de mener une belle et riche carrière.
Avec pour commencer ce succès au concours de chant de Radio France, sa prestation à Corbara lors de l'interprétation de l'oratorio de "Gesù al Sepolcro", chanté ensuite à la Fenice de Venise, à Lourdes, à la Scala di Milan ou bien encore au festival de la Chaise-Dieu.
Donnisulana, le Texas, le Japon, l'Europe, un premier CD, le grand prix du disque de l'académie Charles Cros, le Choc du Monde et le diapason d'or, une multitude d'autres grands rendez-vous, un deuxième puis un troisième CD, puis un double album, etc : Jacky Micaelli a traversé toutes ces années avec succès mais sans perdre jamais de vue, sa formidable envie de transmettre.
"La tradition ce n’est pas uniquement ce qui a existé jadis et qu’il faut conserver tel quel . C’est un héritage, un legs à recueillir, assumer, conserver mais aussi entretenir et faire fructifier en le renouvelant, afin de jeter un pont entre passé et présent : le présent prolonge le passé , le passé vit dans le présent qui prépare le futur, et pour ce futur le passé et le présent deviendront passé" avait elle l'habitude de dire.
Elle aura beaucoup transmis. Mais beaucoup laissé aussi.
Jacky Micaelli nous a quittés.
Mais sa voix nous accompagnera pendant longtemps encore.
Ecoutez-la.
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