Photo archives CNI
Le principal reproche formulé par Ecologia Sulidaria concerne le système actuel, hérité d'une organisation claniste qui peine à répondre efficacement aux besoins concrets des Corses. Le mouvement dénonce ainsi l'inefficacité et le manque de transparence engendrés par "l'empilement de structures - intercommunalités, syndicats, chambre des territoires, agences, offices", appelant à une simplification radicale pour une meilleure gouvernance démocratique.
Dans cette optique, Ecologia Sulidaria propose un modèle articulé autour de trois niveaux de compétences. D'abord, des "communes renforcées" pour une gestion de proximité et une prise de décision ancrée dans les réalités locales. Ensuite, des "communautés de pays" viendraient remplacer les intercommunalités existantes, avec une représentation paritaire hommes/femmes pour une plus grande équité. Enfin, une "Collectivité territoriale élargie aux neuf territoires définis par le Padduc" serait le pivot central de cette nouvelle organisation, avec les compétences nécessaires pour garantir une autonomie réelle et efficace.
Un point essentiel de cette proposition est l'élection directe des représentants au sein de ces Communautés de pays, sur des listes paritaires. Cette mesure vise à assurer une représentation équilibrée et à garantir une gouvernance démocratique et inclusive. De plus, des mécanismes de gestion favorisant le non-cumul des mandats exécutifs et encourageant la coopération entre les différents niveaux administratifs sont envisagés.
Ecologia Sulidaria appelle à un débat ouvert et participatif "dès maintenant," afin que les citoyens corses puissent contribuer activement à façonner ces nouvelles structures. Pour le mouvement, l'autonomie ne doit pas rester un concept théorique, mais doit se traduire concrètement "par une amélioration tangible de la vie quotidienne des habitants de l'île."
Dans cette optique, Ecologia Sulidaria propose un modèle articulé autour de trois niveaux de compétences. D'abord, des "communes renforcées" pour une gestion de proximité et une prise de décision ancrée dans les réalités locales. Ensuite, des "communautés de pays" viendraient remplacer les intercommunalités existantes, avec une représentation paritaire hommes/femmes pour une plus grande équité. Enfin, une "Collectivité territoriale élargie aux neuf territoires définis par le Padduc" serait le pivot central de cette nouvelle organisation, avec les compétences nécessaires pour garantir une autonomie réelle et efficace.
Un point essentiel de cette proposition est l'élection directe des représentants au sein de ces Communautés de pays, sur des listes paritaires. Cette mesure vise à assurer une représentation équilibrée et à garantir une gouvernance démocratique et inclusive. De plus, des mécanismes de gestion favorisant le non-cumul des mandats exécutifs et encourageant la coopération entre les différents niveaux administratifs sont envisagés.
Ecologia Sulidaria appelle à un débat ouvert et participatif "dès maintenant," afin que les citoyens corses puissent contribuer activement à façonner ces nouvelles structures. Pour le mouvement, l'autonomie ne doit pas rester un concept théorique, mais doit se traduire concrètement "par une amélioration tangible de la vie quotidienne des habitants de l'île."