Manuel Valls, en lice pour le 2nd tour de la Primaire de la Gauche.
Voici son communiqué :
« Je serai au côté de Manuel Valls comme je l’ai été jusqu’à présent, parce qu’il possède pour moi les qualités que j’attends d’un président de la République dans la période agitée et troublée que notre pays et notre continent vont traverser.
Il est le seul à gauche, à posséder l’énergie, le sang-froid et l’expérience indispensables pour affronter les défis qui sont devant nous.
J’ajoute, et pour moi cela compte, qu’il est le seul des deux candidats restant en lice à avoir agi avec efficacité en faveur de la Corse, et manifeste pour elle un intérêt évident quand son adversaire y prête à peine un intérêt poli.
Le PS avait choisi d’inviter les Français à un congrès improvisé : ceux qui se sont déplacés ont donc désigné son premier secrétaire, Benoit Hamon.
Dimanche prochain, il va falloir que les électeurs, qui se déplaceront, choisissent lequel de Manuel Valls et de Benoit Hamon est capable de figurer autrement qu’en cinquième position au premier tour de l’élection présidentielle.
Il s’agira de décider si la gauche de gouvernement doit assumer le risque de l’impopularité que l’exercice du pouvoir réserve à ceux qui choisissent la voie de la réforme, ou si elle va se cantonner dans une posture radicale qui la condamne à l’opposition et la réduit à l’impuissance.
J’invite les électeurs attachés à la réforme et à résister au mirage des lendemains qui n’ont jamais chanté que pour les appareils des partis à se mobiliser dimanche. »
« Je serai au côté de Manuel Valls comme je l’ai été jusqu’à présent, parce qu’il possède pour moi les qualités que j’attends d’un président de la République dans la période agitée et troublée que notre pays et notre continent vont traverser.
Il est le seul à gauche, à posséder l’énergie, le sang-froid et l’expérience indispensables pour affronter les défis qui sont devant nous.
J’ajoute, et pour moi cela compte, qu’il est le seul des deux candidats restant en lice à avoir agi avec efficacité en faveur de la Corse, et manifeste pour elle un intérêt évident quand son adversaire y prête à peine un intérêt poli.
Le PS avait choisi d’inviter les Français à un congrès improvisé : ceux qui se sont déplacés ont donc désigné son premier secrétaire, Benoit Hamon.
Dimanche prochain, il va falloir que les électeurs, qui se déplaceront, choisissent lequel de Manuel Valls et de Benoit Hamon est capable de figurer autrement qu’en cinquième position au premier tour de l’élection présidentielle.
Il s’agira de décider si la gauche de gouvernement doit assumer le risque de l’impopularité que l’exercice du pouvoir réserve à ceux qui choisissent la voie de la réforme, ou si elle va se cantonner dans une posture radicale qui la condamne à l’opposition et la réduit à l’impuissance.
J’invite les électeurs attachés à la réforme et à résister au mirage des lendemains qui n’ont jamais chanté que pour les appareils des partis à se mobiliser dimanche. »