Jean Louis Milani et Jean Joseph Massoni, conseillers municipaux et délégués communautaires, adjoints UMP au maire nationaliste de Bastia, Gilles Simeoni.
« Fort d’une élection municipale qui a permis à la droite bastiaise de retrouver enfin des couleurs en revenant aux responsabilités après un demi-siècle de déshérence, je pensais sincèrement que la famille libérale avait enfin mis de côté ses querelles de clochers et ses luttes de pouvoirs personnels. A la lecture des propos de Stéphanie Grimaldi, force est de constater que certains représentants de notre famille politique n’ont pas su tirer les leçons du passé qui nous ont conduit irrémédiablement de conflits en défaites. En conséquence, je ne peux que m’interroger sur le véritable sens de ses propos regrettables et sur leurs réelles motivations. Je n’ose imaginer que cette réaction épidermique, qui n’exprime que son point de vue personnel, ne soit que le fruit de son échec à être candidate sur les cantons de Bastia, alors que son engagement l’aurait légitimement poussé à l’être à Casinca-Fiumalto. Ainsi déserté par les candidats de droite.
Concernant l’alliance pour les élections départementales avec une candidate issue de la famille nationaliste, je l’assume entièrement, et même avec fierté, car je reste fidèle à mes idéaux. Elle s’inscrit en effet dans une logique de continuité des accords électoraux de l’élection municipale mais elle est surtout source d’espoirs car elle permettra de voir les forces progressistes et d'ouverture, l'emporter sur celles de l'immobilisme et du clientélisme. »
Concernant l’alliance pour les élections départementales avec une candidate issue de la famille nationaliste, je l’assume entièrement, et même avec fierté, car je reste fidèle à mes idéaux. Elle s’inscrit en effet dans une logique de continuité des accords électoraux de l’élection municipale mais elle est surtout source d’espoirs car elle permettra de voir les forces progressistes et d'ouverture, l'emporter sur celles de l'immobilisme et du clientélisme. »