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De nombreuses coupures de courant ont désormais lieu en été comme en hiver. Face à une situation délicate à gérer sur le plan politique et énergétique, la Corse se retrouve au bord du point de rupture. Cette tendance est malheureusement partie pour durer. Depuis plusieurs années, l’île peine à répondre aux besoins en énergie électrique. Au point qu’EDF s’est déjà retrouvé à demander aux habitants de réduire leur consommation électrique, sous peine de subir des délestages.
La production d’énergie verte est l’un des moyens pour la Corse de s’approvisionner en électricité (MonPetitForfait via MaPetiteEnergie compare les meilleures solutions d’énergie verte du marché). Cependant, le caractère périodique et variable de la production éolienne et photovoltaïque ne permet pas à l’île de compter uniquement sur ces procédés. De plus, l’approvisionnement qui passe par l’Italie ne va pas en faveur d’une autonomie énergétique.
Cette situation périlleuse peut s’expliquer par la vétusté des infrastructures électriques en place sur l’île. Le STC d’EDF alerte sur l’état actuel des installations, qui ne sont plus en mesure de fournir l’électricité en quantité suffisante. D’ici 2030, ce seront plus de 360 000 habitants qui occuperont la Corse. Les besoins sont en constante hausse, ce qui contribue à tendre la situation énergétique. Le syndicat parle d’une “nécessité d’agir immédiatement”.
L’arrivée d’une nouvelle centrale se fait attendre sur le territoire. La centrale actuelle du Vazio est régulièrement en panne. Grâce au travail de maintenance des équipes sur place, il est possible de fournir de l’électricité par des “stratagèmes dignes de pays sous-développés”. Les stations de conversion, qui ont pour but d’importer de l’électricité depuis l’Italie, sont également soumises à des pannes régulières. Pour le syndicat, un renouvellement des infrastructures est à prendre très au sérieux.
Loin d’être satisfait de cette situation, le STC souhaite alerter et créer un changement de la prise de conscience de la gravité de la situation. Du côté d’EDF, on se “félicite” d’avoir pu avoir recours à des dispositifs de maintenance ayant garanti la fourniture en électricité. De plus, la centrale du Vazzio est particulièrement polluante et dépassée d’un point de vue technologique. EDF SEI compense ce manque par la fourniture de groupes électrogènes “avec des baisses de 5% sur le réseau au moment de la pointe”.
À l’approche des prochaines élections présidentielles, le syndicat attend des actions concrètes. Car depuis plusieurs années, Guy Mari et le STC sont las des promesses de projet de construction de nouvelles centrales non abouti. Il est important de noter que les rapports sur la PPE (programmation pluriannuelle énergétique) doivent passer à l’Assemblée de Corse, d’où la volonté pour le STC d’EDF de se faire entendre aussi fort que possible.
Les habitants ainsi que les autorités souhaitent à court terme, ne plus être dépendants et soumis à des phénomènes climatiques (canicule, grand froid) qui font exploser la consommation et ainsi compliquer l’approvisionnement.
La production d’énergie verte est l’un des moyens pour la Corse de s’approvisionner en électricité (MonPetitForfait via MaPetiteEnergie compare les meilleures solutions d’énergie verte du marché). Cependant, le caractère périodique et variable de la production éolienne et photovoltaïque ne permet pas à l’île de compter uniquement sur ces procédés. De plus, l’approvisionnement qui passe par l’Italie ne va pas en faveur d’une autonomie énergétique.
Cette situation périlleuse peut s’expliquer par la vétusté des infrastructures électriques en place sur l’île. Le STC d’EDF alerte sur l’état actuel des installations, qui ne sont plus en mesure de fournir l’électricité en quantité suffisante. D’ici 2030, ce seront plus de 360 000 habitants qui occuperont la Corse. Les besoins sont en constante hausse, ce qui contribue à tendre la situation énergétique. Le syndicat parle d’une “nécessité d’agir immédiatement”.
L’arrivée d’une nouvelle centrale se fait attendre sur le territoire. La centrale actuelle du Vazio est régulièrement en panne. Grâce au travail de maintenance des équipes sur place, il est possible de fournir de l’électricité par des “stratagèmes dignes de pays sous-développés”. Les stations de conversion, qui ont pour but d’importer de l’électricité depuis l’Italie, sont également soumises à des pannes régulières. Pour le syndicat, un renouvellement des infrastructures est à prendre très au sérieux.
Loin d’être satisfait de cette situation, le STC souhaite alerter et créer un changement de la prise de conscience de la gravité de la situation. Du côté d’EDF, on se “félicite” d’avoir pu avoir recours à des dispositifs de maintenance ayant garanti la fourniture en électricité. De plus, la centrale du Vazzio est particulièrement polluante et dépassée d’un point de vue technologique. EDF SEI compense ce manque par la fourniture de groupes électrogènes “avec des baisses de 5% sur le réseau au moment de la pointe”.
À l’approche des prochaines élections présidentielles, le syndicat attend des actions concrètes. Car depuis plusieurs années, Guy Mari et le STC sont las des promesses de projet de construction de nouvelles centrales non abouti. Il est important de noter que les rapports sur la PPE (programmation pluriannuelle énergétique) doivent passer à l’Assemblée de Corse, d’où la volonté pour le STC d’EDF de se faire entendre aussi fort que possible.
Les habitants ainsi que les autorités souhaitent à court terme, ne plus être dépendants et soumis à des phénomènes climatiques (canicule, grand froid) qui font exploser la consommation et ainsi compliquer l’approvisionnement.
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