Sur ce scrutin, la seule dissemblance est le nombre de voix. La liste d’union Cunsulta di a Ghjuventù Corsa-Ghjuventù Independentista (CGC-GI) devance l’opposition Ghjuventù Paolina (GP) de 67 suffrages, la CGC-GI a remporté 870 voix en sa faveur contre 803 pour la GP. Une différence peu notable qui ne changera pas grand-chose. En nombre de sièges, chacun des partis aura 10 représentants sur les bancs des conseils d’administration et de la formation-vie étudiante.
Une élection entachée par la fraude ?
À quelques heures du début du scrutin, le soir du 24 janvier, la liste d’union CGC-GI avait dénoncé des suspicions de fraude à la procuration. La structure syndicale se targuait d’avoir rassemblé de nombreuses informations à l’encontre de leurs opposants, tout en les fustigeant par le biais d’un communiqué. « Ces procurations ont été effectuées en usurpant l’identité d’autres étudiants. (...) Ces pratiques sont indignes. Elles le sont d’autant plus pour une structure se revendiquant de l’héritage Paoliste » (CGC-GI / 24 janvier). Le syndicat opposant, la Ghjuventù Paolina, rétorque toutes ces accusations jugées de « calomnieuses ».
Un recours envisagé
De son côté, le président de l’université, Dominique Federici avait consulté les deux parts en comité électoral consultatif pour effectuer des vérifications, la veille du vote. Il avait été acté suite à cette réunion que les procurations, au nombre de vingt, jugées frauduleuses soient caduque. « À cette heure, les assesseurs CGC-GI effectuent de dernières vérifications pour s'assurer que ces voix n’aient pas été exprimées » explique Pierre-Joseph Paganelli (CGC).
Si les voix, censés êtres nulles, ont participé au suffrage, le syndicat étudiant vainqueur songerait à déposer un recours face à cette éventuelle fraude, pour ensuite la contester devant le tribunal administratif.
Une élection entachée par la fraude ?
À quelques heures du début du scrutin, le soir du 24 janvier, la liste d’union CGC-GI avait dénoncé des suspicions de fraude à la procuration. La structure syndicale se targuait d’avoir rassemblé de nombreuses informations à l’encontre de leurs opposants, tout en les fustigeant par le biais d’un communiqué. « Ces procurations ont été effectuées en usurpant l’identité d’autres étudiants. (...) Ces pratiques sont indignes. Elles le sont d’autant plus pour une structure se revendiquant de l’héritage Paoliste » (CGC-GI / 24 janvier). Le syndicat opposant, la Ghjuventù Paolina, rétorque toutes ces accusations jugées de « calomnieuses ».
Un recours envisagé
De son côté, le président de l’université, Dominique Federici avait consulté les deux parts en comité électoral consultatif pour effectuer des vérifications, la veille du vote. Il avait été acté suite à cette réunion que les procurations, au nombre de vingt, jugées frauduleuses soient caduque. « À cette heure, les assesseurs CGC-GI effectuent de dernières vérifications pour s'assurer que ces voix n’aient pas été exprimées » explique Pierre-Joseph Paganelli (CGC).
Si les voix, censés êtres nulles, ont participé au suffrage, le syndicat étudiant vainqueur songerait à déposer un recours face à cette éventuelle fraude, pour ensuite la contester devant le tribunal administratif.