La réponse apportée par José Guidicelli, qui avec son frère Jean-Pierre est responsable de « Destination Corse » une marque du Groupe Guidicelli, est sans équivoque : « Rien n’est moins sûr, car nous avons constaté que l’effet tour de France avait déjà disparu dans la mémoire de ceux qui souhaitaient découvrir les atouts de notre région. A l’inverse, le dernier reportage de l’émission Thalassa semble avoir joui d’une audience importante parmi le public rencontré ».
Puis les intéressés ajoutent : « Nous pensons que la diffusion continue de documentaires sur la diversité et la beauté de nos paysages contribuerait davantage à valoriser l’image de la Corse auprès de plus grand nombre. Pour notre part, nous avons constaté durant le salon « Mahana » un réel enthousiasme et une dynamique encourageante pour la saison touristique qui s’annonce ».
Voilà qui devrait inciter plus d’un à l’optimisme dans un contexte de déprime économique frappant l’île. Aussi, le défi permanent relevé par les socioprofessionnels insulaires du secteur à l’instar du Groupe Guidicelli, est vital pour l’ensemble de l’économie insulaire.
C’est ce que confirme José Guidicelli : « Je suis co-responsable d’une entreprise qui connaît une belle progression alors je n’ai pas le droit d’être pessimiste. Je contribue avec d’autres, à inscrire la Corse sur la voie d’un développement touristique profitable à tous ». Puis c’est au tour de Jean-Pierre Guidicelli d’étayer : « Nous avons opté par exemple, pour des circuits de découverte en autocars au départ de Bastia et ce, deux fois par semaine d’avril à septembre. Cette formule a déjà les faveurs de touristes venant du continent, du Luxembourg, de Belgique et du Canada francophone. A cela il convient d’ajouter les nombreux insulaires qui ont pu, à travers ce produit, redécouvrir avec bonheur les charmes de leur région. Pour ceux qui préfèrent le package ou produit complet, nous vendons des circuits « Tour de Corse » en 7 étapes comprenant le billet d’avion et l’hôtel ».
On l’aura compris à travers cet exemple, les acteurs de l’industrie touristique insulaire ne manquent ni de bonne volonté, ni d’idées novatrices intéressantes. Reste probablement à accompagner ce mouvement à travers des dispositions notamment incitatrices permettant à ce secteur clé, de jouer à fond son rôle de moteur. Et sortir ainsi la Corse de l’ornière dans lequel elle se trouve. C’est une question de survie à laquelle il faudra bien trouver rapidement des réponses sous peine de condamner la Corse à l’asphyxie économique et sociale.
Puis les intéressés ajoutent : « Nous pensons que la diffusion continue de documentaires sur la diversité et la beauté de nos paysages contribuerait davantage à valoriser l’image de la Corse auprès de plus grand nombre. Pour notre part, nous avons constaté durant le salon « Mahana » un réel enthousiasme et une dynamique encourageante pour la saison touristique qui s’annonce ».
Voilà qui devrait inciter plus d’un à l’optimisme dans un contexte de déprime économique frappant l’île. Aussi, le défi permanent relevé par les socioprofessionnels insulaires du secteur à l’instar du Groupe Guidicelli, est vital pour l’ensemble de l’économie insulaire.
C’est ce que confirme José Guidicelli : « Je suis co-responsable d’une entreprise qui connaît une belle progression alors je n’ai pas le droit d’être pessimiste. Je contribue avec d’autres, à inscrire la Corse sur la voie d’un développement touristique profitable à tous ». Puis c’est au tour de Jean-Pierre Guidicelli d’étayer : « Nous avons opté par exemple, pour des circuits de découverte en autocars au départ de Bastia et ce, deux fois par semaine d’avril à septembre. Cette formule a déjà les faveurs de touristes venant du continent, du Luxembourg, de Belgique et du Canada francophone. A cela il convient d’ajouter les nombreux insulaires qui ont pu, à travers ce produit, redécouvrir avec bonheur les charmes de leur région. Pour ceux qui préfèrent le package ou produit complet, nous vendons des circuits « Tour de Corse » en 7 étapes comprenant le billet d’avion et l’hôtel ».
On l’aura compris à travers cet exemple, les acteurs de l’industrie touristique insulaire ne manquent ni de bonne volonté, ni d’idées novatrices intéressantes. Reste probablement à accompagner ce mouvement à travers des dispositions notamment incitatrices permettant à ce secteur clé, de jouer à fond son rôle de moteur. Et sortir ainsi la Corse de l’ornière dans lequel elle se trouve. C’est une question de survie à laquelle il faudra bien trouver rapidement des réponses sous peine de condamner la Corse à l’asphyxie économique et sociale.
F. D.