Chaque session de COP est donc fondamentale, car elle permet de faire un bilan de l’année écoulée, mais également de renouveler ou ajuster de précédents engagements.
Mais si la COP21, autrement dit la 21e édition de cette conférence, est si spéciale, c’est parce qu’elle a pour objectif d’aboutir à un accord « universel et contraignant » qui prendra effet à partir de 2020, pour créer une véritable transition vers une économie et une politique mondiale éco-responsables, une grande première pour la COP !
Si la collaboration entre les parties est efficace, nous pourrions donc très bientôt assister à une revalorisation de l’écologie dans la sphère politique, puisque la France a d’ores et déjà investi un milliard de dollars dans le Fonds vert pour le climat, une belle promesse pour l’avenir.
Voilà pour l’historique de cette réunion annuelle qui s’est tenue pour la première dois en 1992 à Rio.
Penser à l’avenir…
La marche pour le climat n’est pas une nouveauté, bien au contraire. C’est une opération mondiale organisée par les associations de défense de l’environnement. En Corse, à Ajaccio plus particulièrement, elle est prévue pour le 28 novembre, samedi en huit. Mais voilà, la manifestation a été annulée au niveau national.
Qu’en sera-t-il de la marche insulaire ?
Elle reste pour l’instant suspendue à une décision de la préfecture de Corse. Le monde associatif, partout dans le monde, estime qu’il ne faut pas laisser ce débat à la seule représentation politique. Les citoyens doivent s’impliquer fortement, qu’il s’agisse de défendre la planète ou tenter d’inverser les tendances que chacun s’accorde à reconnaître inquiétantes pour l’avenir.
Ce dossier a fait l’objet d’une conférence de presse vendredi matin à Ajaccio, en présence de Jean-Nicolas Antoniotti, président de l’association Aria Linda, organisateur de la « marche pour le climat » le 28 novembre prochain :
« La marche que nous organiserons samedi prochain partira au bas du cours Napoléon, à la hauteur du siège de la CAPA (immeuble Alban) pour marquer une pause devant les grilles de la préfecture puis se dirigera vers l’hôtel de région. L’objectif de notre marche pour le climat c’est pour inviter les gens qui sont réunis à Paris, dans le cadre de la COP 21, d’arriver à signer un accord contraignant pour tous les pays, de façon à maintenir l’élévation de la température du globe à moins de 2 degrés d’ici à 2100. Les participants à cette marche à l’initiative de notre association sont U Livantu, le Garde, Per à Pace, Manca Alternativa, etc… Sans connotation politique, sous un seul mot d’ordre mais avec un objectif commun : parler aux dirigeants du pays pour obtenir cet accord limitant cette élévation de température. Cela passe par des mesures économiques, contraignantes pour l’industrie, cela afin de mieux organiser l’activité humaine, génératrice de production de gaz à effet de serre comme chacun sait qui relève la température de la planète… »
J. F.
Mais si la COP21, autrement dit la 21e édition de cette conférence, est si spéciale, c’est parce qu’elle a pour objectif d’aboutir à un accord « universel et contraignant » qui prendra effet à partir de 2020, pour créer une véritable transition vers une économie et une politique mondiale éco-responsables, une grande première pour la COP !
Si la collaboration entre les parties est efficace, nous pourrions donc très bientôt assister à une revalorisation de l’écologie dans la sphère politique, puisque la France a d’ores et déjà investi un milliard de dollars dans le Fonds vert pour le climat, une belle promesse pour l’avenir.
Voilà pour l’historique de cette réunion annuelle qui s’est tenue pour la première dois en 1992 à Rio.
Penser à l’avenir…
La marche pour le climat n’est pas une nouveauté, bien au contraire. C’est une opération mondiale organisée par les associations de défense de l’environnement. En Corse, à Ajaccio plus particulièrement, elle est prévue pour le 28 novembre, samedi en huit. Mais voilà, la manifestation a été annulée au niveau national.
Qu’en sera-t-il de la marche insulaire ?
Elle reste pour l’instant suspendue à une décision de la préfecture de Corse. Le monde associatif, partout dans le monde, estime qu’il ne faut pas laisser ce débat à la seule représentation politique. Les citoyens doivent s’impliquer fortement, qu’il s’agisse de défendre la planète ou tenter d’inverser les tendances que chacun s’accorde à reconnaître inquiétantes pour l’avenir.
Ce dossier a fait l’objet d’une conférence de presse vendredi matin à Ajaccio, en présence de Jean-Nicolas Antoniotti, président de l’association Aria Linda, organisateur de la « marche pour le climat » le 28 novembre prochain :
« La marche que nous organiserons samedi prochain partira au bas du cours Napoléon, à la hauteur du siège de la CAPA (immeuble Alban) pour marquer une pause devant les grilles de la préfecture puis se dirigera vers l’hôtel de région. L’objectif de notre marche pour le climat c’est pour inviter les gens qui sont réunis à Paris, dans le cadre de la COP 21, d’arriver à signer un accord contraignant pour tous les pays, de façon à maintenir l’élévation de la température du globe à moins de 2 degrés d’ici à 2100. Les participants à cette marche à l’initiative de notre association sont U Livantu, le Garde, Per à Pace, Manca Alternativa, etc… Sans connotation politique, sous un seul mot d’ordre mais avec un objectif commun : parler aux dirigeants du pays pour obtenir cet accord limitant cette élévation de température. Cela passe par des mesures économiques, contraignantes pour l’industrie, cela afin de mieux organiser l’activité humaine, génératrice de production de gaz à effet de serre comme chacun sait qui relève la température de la planète… »
J. F.
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