« La confiance s’acquiert, elle ne se demande pas : qui la mérite n’a pas besoin de la demander. » La voix de Laurent Marcangeli s’élève sur la place du Casone. Pourtant, la foule présente ne distingue pas encore la silhouette du leader d’ « Un soffiu novu ». Ce n’est que bien plus tard qu’il fera son apparition.
Le bilan « indigent » de l’Exécutif
En attendant, c’est le maître de cérémonie Jean-Paul Luciani qui prend les rênes de la soirée, égrenant un à un les noms des colistiers sous les applaudissements du public. Avant les premières prises de parole. D’abord, celle d’Élise Barlam, enseignante à Porto-Vecchio et à l’Université de Corse. Celle qui veut être « une voix pour Zonza et pour l’Alta Rocca » critique le bilan « indigent » de l’Exécutif sortant. Notamment en matière d’éducation : « Aucune politique n’a été portée au niveau de la formation ».
Même constat pour le jeune Yoann Morelli, adjoint au maire de Saint-Florent. À 28 ans, le jeune homme est impliqué depuis sept années dans sa commune. Pour lui, la Corse a besoin de solidarité : « J’ai dit oui sans hésiter à Laurent Marcangeli, parce que son programme a une essence sociale, c’est ce qui m’a plu, notamment le revenu jeune actif pour permettre aux jeunes d’avancer dans la vie avant d’obtenir un salaire ».
« Dimanche, nous allons entrouvrir les portes de la victoire grâce à vous ! »
Au tour de Jean-Martin Mondoloni, président du groupe Per l’Avvene à l’Assemblée de Corse de s’adresser à l’auditoire : « Dimanche, nous allon...
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