Détails des modalités d’application de ce déconfinement progressif dans l'arrêté 62/2020 sur site https://t.co/BK49AftAdK
— Préfecture maritime de la Méditerranée (@Premarmed) May 7, 2020
Disponible ici : https://t.co/a0oyUAKPlM pic.twitter.com/1yxOgYMYJo
C'est une véritable hécatombe que connaissent les dauphins qui vivent dans les eaux entre la Corse et la Toscane depuis le début de l'année. Selon les derniers chiffres, plus de 30 mammifères marins ont été retrouvés morts ou mourants sur les côtes de deux régions depuis le 1er juillet 2019. Un phénomène préoccupant dont l'origine semble avoir été élucidée. D'après des scientifiques italiens ceci serait du à une épidémie virale provoquée par un morbillivirus.
Plus de la moitié des 86 espèces de requins, raies et chimères présentes dans la mer Méditerranée sont menacées et un tiers d'entre elles sont en « danger critique d’extinction », ce qui signifie qu’il y a un risque extrêmement élevé de voir l’espèce s’éteindre.
Selon les données du nouveau rapport du WWF, publié à l'occasion de la Journée mondiale du requin, le 14 juillet dernier, les requins pourraient disparaître de la Méditerranée. Leur déclin rapide est l’indicateur le plus sérieux du mauvais état de santé du Mare Nostrum, dont la biodiversité marine est décimée par la surpêche.
C’est avec une grande manifestation gratuite à la plage de l’Arinella que démarrera ce dimanche 7 juillet la 4ème édition de la mission CorsSeaCare. cette année l’équipe de l’association Mare Vivu, qui travaille sur plusieurs thématiques environnementales, parmi lesquelles la pollution plastique en Méditerranée, a décidé de consacrer la mission à la collecte des données ssur la répartition du plancton ainsi que des microplastiques autour des côtes corses. Cette collecte de donnée est inédite et sera faite en partenariat avec la STARESO.
Lauréats l'an dernier du prix national "Biodiversité" du Ministère de la Transition écologique et solidaire, décerné à Paris par l'ex-ministre Nicolas Hulot, Mare Vivu a aussi remporté l'appel à projets international Beyond Plastic Med et été reçus à Monaco par SAS le Prince Albert II pour échanger avec d'autres porteurs de projets méditerranéens passionnants. Outre les félicitations de la Collectivité de Corse et d...
C'est la première fois qu'une baleine à bosse est aperçue dans notre mer. Le journal italien La Nazione, le premier à avoir donné l’info, a souligné l’unicité de cette observation et la surprise des passagers d’un ferry de rencontrer une "baleine aux longues ailes" (comme son nom l'indique en grec) en pleine Méditerranée alors qu'ils naviguaient entre Capraia et la Corse.
« C’est comme si une colonie de manchots empereurs avait été découverte sur les plages de l’île d’Elbe » ont commenté des scientifiques spécialisés de l'institut Thetys, qui ont observé les photos prises par les touristes et confirment qu'il s'agit bien d'une baleine à bosse. Elle est apparue début mars dans le golfe de Naples, comme en témoignent les photos prises par un groupe de pêcheurs incrédules.
Le Blue Panda larguera les amarres depuis le port de Toulon, en juin, et se lancera dans une expédition marine de six mois qui reliera les côtes françaises, italiennes, grecques, turques, tunisiennes et marocaines. Grâce à ce bateau, à son équipage et aux bénévoles du WWF qui suivront son parcours, le WWF souhaite alerter les habitants et acteurs locaux du pourtour méditerranéen ainsi que les touristes de plus en plus nombreux concernant l'impact que des décennies de surexploitation et de pollution non réglementées ont eu sur la faune et la flore.
Le navire débutera son expédition dans le sanctuaire de Pelagos près de la Corse et mènera des recherches scientifiques pour faire un point sur l’état de santé et le comportement des baleines. Les informations recueillies seront utiles au travail du WWF pour réduire les risques de contamination par le plastique e...
Il y a moins d’une semaine la préfecture maritime de la Méditerranée a pris un arrêté pour réglementer le mouillage des bateaux et favoriser la bonne utilisation de l'espace maritime. Le grand nombre de bateaux ancrés dans des lieux très fréquentés sont préjudiciables aux forêts de posidonies, poumon de la Méditerranée, car les ancres arrachent ces plantes.
Ces plantes, déjà protégées par un arrêté du 1988, que l'on trouve en Méditerranée occupent le 25% des fonds marins et elle sont à la fois un puits de carbone et une des sources d'oxygène les plus importantes. Ces herbiers jouent un rôle essentiel car ils accueillent par ailleurs 25% des espèces animales et préservent de l'érosion des sols.
Que la Méditerranée est une mer de plastique et que c'est entre Corse et Toscane que la concentration de déchet a atteint des niveaux d'alerte très élevés, on le savait.
L'alerte avait été lancée il y a deux ans avec la publication d’une étude, publiée dans la revue Nature / ScientificReports et menée par l'Institut des sciences marines du Conseil national de recherches du Lerici (Ismar-Cnr), en collaboration avec les Universités d'Ancône, du Salento et l'Algalita Fondation en Californie.
È UN GIORNO BUIO. Non solo l’Europa ha fallito nel garantire la necessaria capacità di ricerca e soccorso nel Mediterraneo, ma ha anche sabotato chi cercava di salvare vite umane. Siamo delusi e frustrati per le persone che non potremo più aiutare. #Aquarius pic.twitter.com/alUAN3Rr1r
— MediciSenzaFrontiere (@MSF_ITALIA) 7 décembre 2018
Le bateau Aquarius des ONG Medici Senza Frontiere (MSF) et Sos Mediterranee arrête les opérations de sauvetage en mer.
« Après deux mois passés au port de Marseille sans avoir pu obtenir de pavillon pendant que des hommes, des femmes et des enfants continuent de mourir en mer, Msf et Sos Méditerranée sont obligés d'arrêter les activités du navire Aquarius. Un choix douloureux, mais malheureusement obligé, qui causera encore plus de morts. »