Christine Ollivier, créatrice de bijoux brodé, était en pleine création de bijoux. “Ce salon est assez représentatif des métiers de l’art. Parce que souvent on est dans nos ateliers on ne nous voit pas. Le but c’est vraiment de venir, et de travailler sur place, de montrer notre savoir-faire et notre technique.”
Car, en effet, les petits artisans sont en train de perdre la “guerre” contre la grande distribution.
“De toutes façons, nous devons faire de la qualité. Sinon les super-marchés prendront notre place. Mais heureusement, aujourd'hui, la chambre de métiers nous aide, et nous offre des occasions de nous regrouper entre professionnels. Ce qui est une véritable force pour nous.”
Les jeunes du CFA venus partager et apprendre
L'objectif était simple : sortir les apprenants de leur cadre pédagogique, en les faisant travailler en « mode projet » au travers d’une expérience in situ.
Alexandre Pieri, apprenant au CFA vente d’Ajaccio soulignait : “On est là pour montrer et mettre en avant leur métier. Je pense qu'eux apprennent en communication, et nous on découvre de nouveau...
Des objectifs et des axes précis
Réduire les inégalités de développement et dynamiser les territoires autour de Centres de ressources Métiers d’Art, voilà les principales caractéristiques qui s’articulent autour de ce projet.
Il s'agit tout à la fois de décupler la visibilité des entreprises, d'inscrire les entreprises dan...
Pour ce faire, l’ensemble des professionnels et les apprentis du département étaient invités participer aux épreuves qui ont débuté jeudi après-midi au CFA.
Comment ?
" Quel est l'enjeu principal de ce nouveau mandat ?
Mon premier cheval de bataille, c'est faire baisser les charges pour les artisans. C'est très urgent : aujourd'hui, depuis ma première élection, près de 8.000 entreprises ont été créées. Ces entreprises ne payent rien, et les artisans qui ont de nombreuses charges sont en grande difficulté. Si l'on ne rabaisse pas ces charges, un maximum de 30 %, 50 % de l'artisanat aura disparu d'ici trois ans.
Est-ce réalisable selon vous ?
Quand nous avons commencé notre mobilisation, le 22 septembre dernier, tout le monde disait que l'on allait droit dans le mur. Et puis la Ministre est venue, et nous a balancé vingt millions d'euros et 10 % de crédit d'impôt. Sur cette revendication-là par-contre, elle n'a rien voulu entendre. Aujourd'hui, elle a reconnu le poids de l'insularité sur l'économie corse. Donc notre bataille première désormais, c'est la baisse des charges dans l'artisanat via cette reconnaissance de l'insularité.
Vous dites que des entreprises se créent tous les jours, mais les entreprises corses ne se portent pas bien pour autant ?
Quand je suis arrivé à la Chambre de Métiers il y a cinq ans, il y avait 4.200 artisans. Aujourd'hui, il y en a 6.900, et tous les jours ouvrables j'en inscris sept de plus en Corse-du-Sud, et le phénomène est le même en Haute-Corse. Comme je vous l'ai dit cela fait près de 8.000 entreprises artisans en plu...
2 LANOTTE épouse NICOLAI Louise UNIT! PÉ L'ARTISGIANI Services
3 DELMORO Alain UNITI PÉ L'ARTISGIANI Bâtiment
4 SUSINI Jean Dominique UNITI PÉ L'ARTISGIANI Fabrication
5 BOU épouse GARSI Vlolette UNITl PÉ L'ARTlSGIANI Alimentation
6 COMMANDEUR Martine épouse GUERSAL UNITI PÉ L'ARTISGIANI Services
7 COSTAAntoine UNITI PÉ L'ARTISGIANI Bâtiment
8 BIOLCHINI Martial UNITl PÉ L'ARTISGIANI Fabrication
9 GONCALVES DE ARAUJO, épouse TEDESCHI Anne MarleUNlTI PÉ L'ARTISGIANI Alimentation
10 MOLlNELLI Etienne UNITI PÉ L'ARTISGIAN...