En campagne depuis déjà quelques semaines, Marie-Martine Quilichini a officialisé sa candidature à élection présidentielle de 2022 ce dimanche à Ajaccio, aux côtés de Jean-François Baccarelli, responsable de « A voce di a natura corsa » et autour de quelques militants arborant la « bandera ». D’entrée, le décor est planté. « C’est une candidature qui se veut symbolique », clame celle qui portera « A voce di a natura », mais il s’agit d’un combat au profit de l’humain dans une société qui se dégrade dangereusement, surtout lors de ces dernières années. »
Une première et un sacré challenge à relever pour une femme dont le parcours est plus sociétal et associatif que véritablement politique. De surcroît pour s’attaquer à une élection présidentielle, il fallait le faire ! « J’ai beaucoup travaillé au sein d’associations, ajoute-t-elle, notamment celle que je dirige « Défense citoyenne, Droits du citoyen de la Plaine Orientale et des environs », une association qui vient en aide aux personnes en difficulté, aux victimes de violences. «Ce qui m’a poussé à faire campagne pour les Présidentielles, c’est le volet sociétal et humain de la cause. Une cause défendue dans ma commune, mais elle représente 300 habitants. Je veux porter ma voix et mon combat au-delà des frontières de l’île. Le peuple, c’est l’humain et cela dépasse le cadre de la Corse. En 2020, on a été confronté aux excès de précarité, de misère en Corse et ailleurs. »
Un premier pas a été franchi avec le quota de signatures requises mais une démarche encore floue et la nécessité de convaincre ailleurs que dans l’île. « Pour l’heure, nous avons rencontré la population corse, de nombreux maires mais il va de soi que la campagne va se poursuivre sur le Continent où nous irons porter la voix du Peuple. En Corse, nous avons un soutien important et des échos favorables par rapport à la cause et à la candidature. »
Pour ce qui est du programme, bâti sur le triptyque démocratie-social-humaniste, il sera présenté dans l’île début janvier. « Nous détaillerons ce programme, qui comporte 25 lignes avec l’ensemble de l’équipe. Une équipe soudée que nous devrions étoffer. Nous sommes à l’encontre de ce que prônent les élus actuels. On est aux antipodes de ce qui est avancé et développé depuis des années en France. »
Pour mener à bien son projet Marie-Martine Quilichini veut convaincre d’autres élus. « Nous avons de nombreux contacts, certains devraient aboutir rapidement... » Enfin, pour ce qui est de la Corse, la candidate entend en faire l’une de ses priorités mais il est encore difficile de connaître sa position par rapport à l’actuelle majorité territoriale ou d’une manière générale, la famille nationaliste. « Je préfère garder tout cela pour moi. »
Une chose est en tout cas certaine, Marie-Martine Quilichini poursuivra son investissement dans le domaine politique au lendemain des présidentielles. « L’élection municipale est encore trop basse pour porter la voix d’un peuple en souffrance, je miserai sur des élections nationales, voire européennes... »
Une première et un sacré challenge à relever pour une femme dont le parcours est plus sociétal et associatif que véritablement politique. De surcroît pour s’attaquer à une élection présidentielle, il fallait le faire ! « J’ai beaucoup travaillé au sein d’associations, ajoute-t-elle, notamment celle que je dirige « Défense citoyenne, Droits du citoyen de la Plaine Orientale et des environs », une association qui vient en aide aux personnes en difficulté, aux victimes de violences. «Ce qui m’a poussé à faire campagne pour les Présidentielles, c’est le volet sociétal et humain de la cause. Une cause défendue dans ma commune, mais elle représente 300 habitants. Je veux porter ma voix et mon combat au-delà des frontières de l’île. Le peuple, c’est l’humain et cela dépasse le cadre de la Corse. En 2020, on a été confronté aux excès de précarité, de misère en Corse et ailleurs. »
Un premier pas a été franchi avec le quota de signatures requises mais une démarche encore floue et la nécessité de convaincre ailleurs que dans l’île. « Pour l’heure, nous avons rencontré la population corse, de nombreux maires mais il va de soi que la campagne va se poursuivre sur le Continent où nous irons porter la voix du Peuple. En Corse, nous avons un soutien important et des échos favorables par rapport à la cause et à la candidature. »
Pour ce qui est du programme, bâti sur le triptyque démocratie-social-humaniste, il sera présenté dans l’île début janvier. « Nous détaillerons ce programme, qui comporte 25 lignes avec l’ensemble de l’équipe. Une équipe soudée que nous devrions étoffer. Nous sommes à l’encontre de ce que prônent les élus actuels. On est aux antipodes de ce qui est avancé et développé depuis des années en France. »
Pour mener à bien son projet Marie-Martine Quilichini veut convaincre d’autres élus. « Nous avons de nombreux contacts, certains devraient aboutir rapidement... » Enfin, pour ce qui est de la Corse, la candidate entend en faire l’une de ses priorités mais il est encore difficile de connaître sa position par rapport à l’actuelle majorité territoriale ou d’une manière générale, la famille nationaliste. « Je préfère garder tout cela pour moi. »
Une chose est en tout cas certaine, Marie-Martine Quilichini poursuivra son investissement dans le domaine politique au lendemain des présidentielles. « L’élection municipale est encore trop basse pour porter la voix d’un peuple en souffrance, je miserai sur des élections nationales, voire européennes... »
Envoyer à un ami
Version imprimable
