Photo archives CNI
La demande de nombreux chercheurs et historiens de lever des restrictions à l’accès des documents concernant les épisodes les plus controversés de France de plus de 50 ans, a été entendue par le chef de l'Etat qui a décidé de faciliter, à partir de ce mercredi 10 mars, les procédures de déclassification des archives, notamment en ce qui concerne les documents relatifs à la guerre d’Algérie, mais aussi d'autres affaires tels que celui du crash de la caravelle Ajaccio-Nice survenu le 11 septembre 1968.
L'annonce de cette déclassification, que les familles de 95 victimes de ce crash aérien réclamaient depuis de nombreuses années, a été accueilli avec « surprise » a déclaré à nos confères d'Alta Frequenza Maître Paul Sollacaro qui défend plusieurs de ces familles qui espèrent découvrir enfin la vérité, des éléments jusque-là, ignoréspreuve que sur ce dossier, le secret-défense a pesé.
L'annonce de cette déclassification, que les familles de 95 victimes de ce crash aérien réclamaient depuis de nombreuses années, a été accueilli avec « surprise » a déclaré à nos confères d'Alta Frequenza Maître Paul Sollacaro qui défend plusieurs de ces familles qui espèrent découvrir enfin la vérité, des éléments jusque-là, ignoréspreuve que sur ce dossier, le secret-défense a pesé.
Un pas en avant pour Mathieu Poli, président de l’association des victimes qu'en septembre dernier, lors de la cérémonie de commémoration assurait que : « Le combat continuera sans relâche jusqu’à ce que l’Etat reconnaisse l’erreur commise, et tant que nous vivrons et que le secret de la défense nationale ne sera pas levé, nous ne lâcherons rien ».
Envoyer à un ami
Version imprimable
