(Illustration CNI)
Le premier véhicule a, en effet, été incendié à 21h58 à San Nicolao. A 22h07 c'est à Vescovato qu'une deuxième voiture s'embrasait à son tour. Et à 22h09 les pompiers étaient appelés, cette fois à Bastia, pour combattre un nouvel incendie du genre.
Le "timing" est sans doute un peu "serré" pour penser à un scénario échafaudé en amont et mettre le triple incendie sur le dos d'une seule et même personne, mais on peut imaginer un commando qui se serait "calé" pour passer à l'acte à ce moment-là. A moins que cela soit bien sûr une simple coïncidence, ce qui est possible aussi.
Il n'en demeure pas moins que trois nouveaux véhicules ont été détruits.
Et que cela commence à bien faire…
La réponse de Jean Zuccarelli à Gilles Simeoni
Dans un communiqué Jean Zuccarelli répond de la sorte à la récente déclaration de Gilles Simeoni:
"Gilles Simeoni peine manifestement à comprendre l'utilité de la vidéoprotection. Cette dernière a pourtant déjà fait ses preuves sous d'autres cieux.
Nous prenons donc acte de la passivité désormais assumée du maire de Bastia devant la prolifération des incendies de véhicules. Nous déplorons qu'il parle d'instrumentalisation et de démagogie à propos d'un problème bien réel et des mesures tout aussi concrètes que nous proposons de mettre en œuvre pour le réduire.
L'heure n'est pas à la polémique mais aux actes que les Bastiais sont en droit d'attendre de Gilles Simeoni. Sur ce sujet, comme sur beaucoup d'autres, force est de constater que le compte n'y est pas. Les Bastiais nous le confient chaque jour plus nombreux."
"Gilles Simeoni peine manifestement à comprendre l'utilité de la vidéoprotection. Cette dernière a pourtant déjà fait ses preuves sous d'autres cieux.
Nous prenons donc acte de la passivité désormais assumée du maire de Bastia devant la prolifération des incendies de véhicules. Nous déplorons qu'il parle d'instrumentalisation et de démagogie à propos d'un problème bien réel et des mesures tout aussi concrètes que nous proposons de mettre en œuvre pour le réduire.
L'heure n'est pas à la polémique mais aux actes que les Bastiais sont en droit d'attendre de Gilles Simeoni. Sur ce sujet, comme sur beaucoup d'autres, force est de constater que le compte n'y est pas. Les Bastiais nous le confient chaque jour plus nombreux."
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