Ce comité comprendra des pépiniéristes, l’office de développement agricole et rural corse, les représentants des filières agricoles, le service recherche de la Collectivité territoriale Corse, l’INRA, l’AREFLEC.
L’étude dont le coût est de 520 000 euros sera financée par la Collectivité territoriale Corse à hauteur de 300 000 euros et le reste reviendra aux différents autres organismes. Elle sera menée par l’INRA, l’Université, l’office de l’Environnement qui chapeautera le conservatoire botanique et le conservatoire des insectes de Corse.
Francois Casabianca , président du Centre de l’INRA de Corse précise : « L'étude visera à produire des connaissances, à analyser le réseau d’interaction entre les plantes et les insectes, à comprendre comment les plantes et les insectes sont amenés à se rencontrer ».
Laetizia Hugot conservatrice du conservatoire botanique national de Corse ajoute : « il nous faudra comprendre les liens entre les cicadelles, les insectes vecteurs et les plantes, où naissent-elles ? Quelles sont leurs habitudes et leur fonctionnement ? Il nous faudra en capturer afin d’analyser leur ADN ».
Une réunion aura lieu tous les 6 mois pour partager des informations qui aideront tous les acteurs concernés à prendre des décisions éclairées et à gérer la crise actuelle.
L’installation du premier comité de pilotage et de suivi du programme de recherche «éco épidémiologie de Xylella fastidiosa en Corse » a été présidée jeudi matin par Agnès Simonpiteri, présidente de l'Office de l'Environnement de la Corse
J. D
L’étude dont le coût est de 520 000 euros sera financée par la Collectivité territoriale Corse à hauteur de 300 000 euros et le reste reviendra aux différents autres organismes. Elle sera menée par l’INRA, l’Université, l’office de l’Environnement qui chapeautera le conservatoire botanique et le conservatoire des insectes de Corse.
Francois Casabianca , président du Centre de l’INRA de Corse précise : « L'étude visera à produire des connaissances, à analyser le réseau d’interaction entre les plantes et les insectes, à comprendre comment les plantes et les insectes sont amenés à se rencontrer ».
Laetizia Hugot conservatrice du conservatoire botanique national de Corse ajoute : « il nous faudra comprendre les liens entre les cicadelles, les insectes vecteurs et les plantes, où naissent-elles ? Quelles sont leurs habitudes et leur fonctionnement ? Il nous faudra en capturer afin d’analyser leur ADN ».
Une réunion aura lieu tous les 6 mois pour partager des informations qui aideront tous les acteurs concernés à prendre des décisions éclairées et à gérer la crise actuelle.
L’installation du premier comité de pilotage et de suivi du programme de recherche «éco épidémiologie de Xylella fastidiosa en Corse » a été présidée jeudi matin par Agnès Simonpiteri, présidente de l'Office de l'Environnement de la Corse
J. D