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Skip & die en concert à l'Aghja


Vanina Bruna le Mardi 1 Avril 2014 à 21:25

Samedi 5 avril à 21h, l'Aghja propose un concert exceptionnel avec l'une des révélations de la scène internationale : SKIP & DIE, groupe aujourd'hui encensé dans le monde entier.



Quand l'artiste sud-africaine chanteuse et vidéo plasticienne Catarina Aimée Dahms (Cata.Pirata), et le producteur hollandais Jori Collington se rencontrent aux Pays Bas, ils choisissent immédiatement de travailler ensemble. Leur collaboration fructueuse se traduit rapidement par la création d'un vrai groupe de concert. Très vite, Cata.Pirata souhaite faire connaître son pays d'origine à Jori. Durant leur long voyage en Afrique du Sud (Soweto, Johannesburg, Cape Town et Guguletu),  ils écrivent leur premier opus, Riots in the jungle, accompagnés par quelques-uns des musiciens émergents les plus prometteurs, qu'ils rencontrent au cours de leur périple. L'album est comme un patchwork de leurs plus fortes expériences sud-africaines : il évoque le soleil incandescent, les routes poussiéreuses, les bidonvilles, les émeutes, les couples d'amoureux... Cata.Pirata chante en anglais, espagnol, portugais, et surtout dans trois des langues officielles d'Afrique du Sud : le xhola, le zoulou et l'afrikaans. Ses textes sont décapants, chargés d'une révolte à fleur de peau. Et sur scène, elle est impétueuse, ardente, magnifique, délirante, volcanique... Alors, ne manquez pour rien au monde ce rendez-vous avec une artiste comme on en compte peu dans le monde musical actuel. Une DIVA époustouflante !
 
"SKIP&DIE : l'Afrique du Sud explosive ! (...) Riots in the jungle, comme l'irrésistible single à qui il a donné son nom, est un disque éclatant comme un carnet de voyage. (...) Entre funk rieur et shangaan électro, SKIP&DIE choisit de faire de la politique en faisant danser les gens, et installe ses textes engagés sur le dance-floor. Pas de vuvuzela ici, mais un véritable savoir-faire dans l'art de provoquer les corps en boudant les lignes droites. (...) Cuivres radieux, chœurs festifs, beats molotov et mélodies tyranniques : Riots in the jungle provoque souvent la transe." LES INROCKS