Les objectifs de la journée ?
Ils étaient multiples.
Il s'agissait de contrôler la vitesse, le matériel de sécurité, les plongées, les navires à passagers mais pas seulement.
Gendarmes maritimes, agents des affaires maritimes et Douaniers pouvaient aussi tout à loisir lors de cette opération relever tout autre type d'infractions à la réglementation avec la possibilité de procéder à des retraits immédiats de permis dans le cas d'infractions graves.
Au terme de la journée la petite flottille avait procédé en quelques heures à 34 contrôles, dressé 4 procès-verbaux dont 3 liés à des vitesses excessives, 1 procès verbal pour une vitesse à 30 nœuds et 1 procès-verbal lié à un défaut de brassière de sauvetage pour une école de plongée.
Dans la même laps de temps, il y a eu une assistance à plaisancier, 1 rappel à la loi sur les équipements obligatoires de sécurité et une dernière recommandation pour une vitesse qui n'était pas excessive mais qui méritait observation.
Bref on l'aura compris.
En navigant de bateau rigide, en bateau de passagers en passant par les bateaux de location, gendarmes maritimes, Douaniers et agents des affaires maritimes se sont multipliés parce que, ainsi que le disait le capitaine de corvette Yann Bizien, chef du bureau de communication régionale de la marine nationale, avant l'opération qui a démarré du petit port de Galeria, il y a "un besoin de pédagogie, un besoin de sensibilisation, un besoin de recommandations, un besoin de sanction pour les comportement à risques et un besoin d’autorité publique sur la mer afin de produire des effets positifs sur les comportements."
Ici par exemple, en plein cœur de Scandola deux couples de Suédois à bord d'un bateau de location naviguent avec des gilets de sauvetage pour… enfants. Pour la circonstance ce n'est pas l'équipage de l'embarcation qui sera averti. Mais la société de location.
Là c'est un bateau à passagers avec un groupe d'Autrichiens qui pare devant Gargallu.
Le contrôle opéré par les deux gendarmes de la vedette de la Gravona se déroule dans une atmosphère bon enfant. Il n'en est pas moins méticuleux. En tout cas rien n'est laissé au hasard. Pas davantage quand un peu plus tard le petit rigide de la gendarmerie aborde un autre bateau. Ici il manque une lampe, un feu de navigation refuse de s'allumer. Rien n'échappe au duo de la gendarmerie qui ne se départit jamais de son amabilité mais qui reste néanmoins ferme sur les exigences de navigation. Contrôlé encore un bateau ces plongeurs belges qui à proximité de la réserve naturelle sont venus observer les fonds en toute légalité.
Mais si cette première opération d'envergure dans le cadre majestueux de Scandola s'est avérée plus pédagogique que répressive, il en ira tout autrement prochainement.
Avis aux navigateurs...
Au terme de l'opération le préfet maritime a dressé un bilan de la matinée.
Ils étaient multiples.
Il s'agissait de contrôler la vitesse, le matériel de sécurité, les plongées, les navires à passagers mais pas seulement.
Gendarmes maritimes, agents des affaires maritimes et Douaniers pouvaient aussi tout à loisir lors de cette opération relever tout autre type d'infractions à la réglementation avec la possibilité de procéder à des retraits immédiats de permis dans le cas d'infractions graves.
Au terme de la journée la petite flottille avait procédé en quelques heures à 34 contrôles, dressé 4 procès-verbaux dont 3 liés à des vitesses excessives, 1 procès verbal pour une vitesse à 30 nœuds et 1 procès-verbal lié à un défaut de brassière de sauvetage pour une école de plongée.
Dans la même laps de temps, il y a eu une assistance à plaisancier, 1 rappel à la loi sur les équipements obligatoires de sécurité et une dernière recommandation pour une vitesse qui n'était pas excessive mais qui méritait observation.
Bref on l'aura compris.
En navigant de bateau rigide, en bateau de passagers en passant par les bateaux de location, gendarmes maritimes, Douaniers et agents des affaires maritimes se sont multipliés parce que, ainsi que le disait le capitaine de corvette Yann Bizien, chef du bureau de communication régionale de la marine nationale, avant l'opération qui a démarré du petit port de Galeria, il y a "un besoin de pédagogie, un besoin de sensibilisation, un besoin de recommandations, un besoin de sanction pour les comportement à risques et un besoin d’autorité publique sur la mer afin de produire des effets positifs sur les comportements."
Ici par exemple, en plein cœur de Scandola deux couples de Suédois à bord d'un bateau de location naviguent avec des gilets de sauvetage pour… enfants. Pour la circonstance ce n'est pas l'équipage de l'embarcation qui sera averti. Mais la société de location.
Là c'est un bateau à passagers avec un groupe d'Autrichiens qui pare devant Gargallu.
Le contrôle opéré par les deux gendarmes de la vedette de la Gravona se déroule dans une atmosphère bon enfant. Il n'en est pas moins méticuleux. En tout cas rien n'est laissé au hasard. Pas davantage quand un peu plus tard le petit rigide de la gendarmerie aborde un autre bateau. Ici il manque une lampe, un feu de navigation refuse de s'allumer. Rien n'échappe au duo de la gendarmerie qui ne se départit jamais de son amabilité mais qui reste néanmoins ferme sur les exigences de navigation. Contrôlé encore un bateau ces plongeurs belges qui à proximité de la réserve naturelle sont venus observer les fonds en toute légalité.
Mais si cette première opération d'envergure dans le cadre majestueux de Scandola s'est avérée plus pédagogique que répressive, il en ira tout autrement prochainement.
Avis aux navigateurs...
Au terme de l'opération le préfet maritime a dressé un bilan de la matinée.