Au centre des négociations : la durée du contrat, les propositions tarifaires, l’amélioration du rendement…. « Les négociations ont été difficiles et parfois âpres mais le résultat est plus que satisfaisant, il va au-delà de nos espérances » s’est réjoui Georges Mela.
Tarifs
Kyrnolia a un portefeuille de 9 820 abonnés pour un peu plus de deux millions de mètres cubes consommés. Les tarifs vont baisser de 7,5% pour les abonnés à l’eau assainie et de 8,5 % pour ceux qui ne sont pas raccordés au réseau d’assainissement. Ces baisses concernent les abonnés qui consomment entre 120 à 150 M3 d’eau par an. « 80 % des abonnés verront leur facture diminuer, le prix du M3 va s’établir à 3,96 €, nous serons dans la moyenne basse des prix pratiqués en Corse » a souligné le premier magistrat.
En revanche les tarifs vont augmenter pour les résidences secondaires qui sont raccordées à la station de traitement de Nota, « celles qui sont situées dans les hameaux de montagne ne sont pas concernées par cette augmentation » a précisé Georges Mela qui s’est félicité de « ce rééquilibrage entre les personnes qui habitent de manière permanente sur la commune et les résidences secondaires : c’est la justice sociale »
(La suite sur Alcudina.fr)
Tarifs
Kyrnolia a un portefeuille de 9 820 abonnés pour un peu plus de deux millions de mètres cubes consommés. Les tarifs vont baisser de 7,5% pour les abonnés à l’eau assainie et de 8,5 % pour ceux qui ne sont pas raccordés au réseau d’assainissement. Ces baisses concernent les abonnés qui consomment entre 120 à 150 M3 d’eau par an. « 80 % des abonnés verront leur facture diminuer, le prix du M3 va s’établir à 3,96 €, nous serons dans la moyenne basse des prix pratiqués en Corse » a souligné le premier magistrat.
En revanche les tarifs vont augmenter pour les résidences secondaires qui sont raccordées à la station de traitement de Nota, « celles qui sont situées dans les hameaux de montagne ne sont pas concernées par cette augmentation » a précisé Georges Mela qui s’est félicité de « ce rééquilibrage entre les personnes qui habitent de manière permanente sur la commune et les résidences secondaires : c’est la justice sociale »
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