L'histoire a bouleversé sa fille de 10 ans et suscité l'indignation de la part de ses deux filles aînées qui, dès qu'elles ont appris ce qui s'était passé à Paris, ont pris des dispositions pour aller chercher leur mère.
Tout a commencé il y a une dizaine de jours avec, nous l'avons dit, une double intervention au niveau du sacrum pour cette patiente ajaccienne de l'hôpital Lariboisière à Paris.
Tout se déroule parfaitement au niveau médical. Pourtant un grain de sable, qu'elle pense être sans conséquence, va survenir durant son hospitalisation : le vol de sa carte d'identité. Elle en fait part au service de sécurité de l'hôpital, en vain.
Fort heureusement lui reste la photocopie du document effectuée lors de son admission. Avec ça, elle est certaine elle se croit certaine de pouvoir voyager.
Hélas.
Vient alors le jour de la sortie. Il est près de 14 heures. Direction Orly pour un embarquement à destination d'Ajaccio en début d'après-midi.
Enregistrement puis direction l'embarquement. Avec la photocopie de sa carte d'identité, nombre d'autres pièces : dossier médical, carte vitale.
Cette mère de famille est tellement sûre qu'elle va être rapidement rendue à Ajaccio qu'elle n'a pas songé à se munir des antalgiques qui sont indispensables à atténuer la douleur consécutive à sa double intervention au sacrum.
Mais le grain de sable ne va tarder à produire ses effets.
Elle a, dès lors, beau expliquer au cerbère qui est devant elle, ce qui lui est arrivé à l'hôpital, lui présenter la photocopie de sa carte d'identité volée, son dossier médical. Rien n'y fait. Elle n'embarquera pas pour Ajaccio. Sa valise qui était, déjà, dans l'appareil lui est restituée.
Elle se retrouve ainsi à Orly à essayer d'imaginer une solution pour rentrer chez elle, malgré le handicap douloureux qui est le sien.
Elle tente alors sa chance sur le vol de 21h40. Nouvel enregistrement. Mais cela n'ira pas plus loin : le Paris-Ajaccio est annulé pour des raisons techniques !
Il n'empêche que la situation devient pénible pour notre mère de famille qui s'ouvre de ses problèmes auprès des siens qui l'attentent dans la cité impériale.
Le service médical d'urgence d'Orly est alors avisé. Elle est bientôt récupérée et transportée dans un hôtel proche où elle pourra récupérer.
Là on lui apprend non seulement qu'elle aurait pu embarquer le soir même si le vol n'avait pas été annulé, mais, également, qu'elle pourra s'envoler sans autre problème pour Ajaccio le lendemain !
Tout est bien qui finit bien.
Mais la bêtise humaine n'aurait-elle pas pu faire l'économie de l'épreuve imposée à cette mère de famille qui de 14 à près de 22 heures a du faire face, seule, à l'indifférence, à la douleur, à l'incompréhension ?
Tout a commencé il y a une dizaine de jours avec, nous l'avons dit, une double intervention au niveau du sacrum pour cette patiente ajaccienne de l'hôpital Lariboisière à Paris.
Tout se déroule parfaitement au niveau médical. Pourtant un grain de sable, qu'elle pense être sans conséquence, va survenir durant son hospitalisation : le vol de sa carte d'identité. Elle en fait part au service de sécurité de l'hôpital, en vain.
Fort heureusement lui reste la photocopie du document effectuée lors de son admission. Avec ça, elle est certaine elle se croit certaine de pouvoir voyager.
Hélas.
Vient alors le jour de la sortie. Il est près de 14 heures. Direction Orly pour un embarquement à destination d'Ajaccio en début d'après-midi.
Enregistrement puis direction l'embarquement. Avec la photocopie de sa carte d'identité, nombre d'autres pièces : dossier médical, carte vitale.
Cette mère de famille est tellement sûre qu'elle va être rapidement rendue à Ajaccio qu'elle n'a pas songé à se munir des antalgiques qui sont indispensables à atténuer la douleur consécutive à sa double intervention au sacrum.
Mais le grain de sable ne va tarder à produire ses effets.
Elle a, dès lors, beau expliquer au cerbère qui est devant elle, ce qui lui est arrivé à l'hôpital, lui présenter la photocopie de sa carte d'identité volée, son dossier médical. Rien n'y fait. Elle n'embarquera pas pour Ajaccio. Sa valise qui était, déjà, dans l'appareil lui est restituée.
Elle se retrouve ainsi à Orly à essayer d'imaginer une solution pour rentrer chez elle, malgré le handicap douloureux qui est le sien.
Elle tente alors sa chance sur le vol de 21h40. Nouvel enregistrement. Mais cela n'ira pas plus loin : le Paris-Ajaccio est annulé pour des raisons techniques !
Il n'empêche que la situation devient pénible pour notre mère de famille qui s'ouvre de ses problèmes auprès des siens qui l'attentent dans la cité impériale.
Le service médical d'urgence d'Orly est alors avisé. Elle est bientôt récupérée et transportée dans un hôtel proche où elle pourra récupérer.
Là on lui apprend non seulement qu'elle aurait pu embarquer le soir même si le vol n'avait pas été annulé, mais, également, qu'elle pourra s'envoler sans autre problème pour Ajaccio le lendemain !
Tout est bien qui finit bien.
Mais la bêtise humaine n'aurait-elle pas pu faire l'économie de l'épreuve imposée à cette mère de famille qui de 14 à près de 22 heures a du faire face, seule, à l'indifférence, à la douleur, à l'incompréhension ?