La scène date de 2013. Alex Alessandrini, alors président de la fédération du PRG de Haute-Corse, recueille le vote de Jean Zuccarelli. Au terme d'une consultation interne le PRG avait validé la candidature de Jean Zuccarelli aux municipales de Bastia. Aujourd'hui Anthony Alessandrini a pris la suite de son père. Alex. Jean Zuccarelli et ses amis contestent l'élection de samedi. (© Photo France 3 Corse)
"En raison des multiples dysfonctionnements, litiges et contestations récurrents au sein de la Fédération de Haute-Corse, le Bureau National du PRG a décidé à l’unanimité le 18 Mai dernier, sur la proposition de sa présidente Sylvia Pinel, de saisir sa très respectée Commission de Conciliation, en application des statuts.
Ainsi que précisé, tant en séance par la présidente Sylvia Pinel que dans son courrier du 24 mai par Paul Dhaille, président de cette commission, aucune assemblée générale de la fédération de la Haute-Corse ne peut ni ne pourra se tenir tant que le rapport de la commission de conciliation n’aura pas été rendu et que le Bureau National n’aura pas tranché la situation.
Cette décision a été rappelée à plusieurs reprises, notamment par écrit à Alexandre Alessandrini comme à Anthony Alessandrini.
"Décisions nulles et non avenues"
Pour autant, ils se sont obstinés, en toute illégitimité, à convoquer une pseudo assemblée générale de la fédération qui n’a, au final, réuni ce Samedi 11 Juin 2016, que moins de cinquante personnes sur plus de 500 militants recensés.
Cette « vraie fausse assemblée générale » de ce Samedi 11 Juin est donc illégale et ses décisions totalement nulles et non avenues.
Son organisation rocambolesque témoigne de la fébrilité de ses organisateurs et d’un grand mépris des instances du parti et de ses militants."
Ainsi que précisé, tant en séance par la présidente Sylvia Pinel que dans son courrier du 24 mai par Paul Dhaille, président de cette commission, aucune assemblée générale de la fédération de la Haute-Corse ne peut ni ne pourra se tenir tant que le rapport de la commission de conciliation n’aura pas été rendu et que le Bureau National n’aura pas tranché la situation.
Cette décision a été rappelée à plusieurs reprises, notamment par écrit à Alexandre Alessandrini comme à Anthony Alessandrini.
"Décisions nulles et non avenues"
Pour autant, ils se sont obstinés, en toute illégitimité, à convoquer une pseudo assemblée générale de la fédération qui n’a, au final, réuni ce Samedi 11 Juin 2016, que moins de cinquante personnes sur plus de 500 militants recensés.
Cette « vraie fausse assemblée générale » de ce Samedi 11 Juin est donc illégale et ses décisions totalement nulles et non avenues.
Son organisation rocambolesque témoigne de la fébrilité de ses organisateurs et d’un grand mépris des instances du parti et de ses militants."