Photo Marilyne SANTI
Camille Pozzo di Borgo axe son travail sur l'anatomie animale et humaine. Elle superpose les différentes couches organiques d'un être vivant la peau, les muscles, les os à l'aide du procédé d'impression de gravure en taille douce sur métal ou plastique. Elle explore ainsi chez l’homme les différents moyens d'unir et de manipuler les physionomies dans le but de créer un nouvel être et de lui ôter son identité, en somme de le dé-personnifier. Actuellement elle entre en année aux Beaux-Arts de Paris, après une formation l’Atelier de Sèvres
Douze jeunes talents sur plus de 500 candidats ont été récompensés cette année, dans les catégories « Peinture sur Papier », « Dessin » et « Photographie » ainsi que pour le « Prix Façade ». Ce prix est représentatif de la diversité des expressions artistiques contemporaines et du monde puisque diverses nationalités étaient représentées.
Camille Pozzo di Borgo a voulu en exécutant son tableau « Les Trois Sœurs » mélanger son visage et celui de ses sœurs, avec des superpositions tout en transparence d’organes et d’os, afin créer des êtres hybrides qui appelle la réflexion. On assiste à une technique maitrisée, un questionnement sur l’identité, le corps, sa représentation sans tenir compte de l’apparence. Une pièce qui reflète son vécu et celle de sa famille puisque l’œuvre originelle comportait les portraits des parents de Camille, « un peu comme un arbre généalogique » confiera-t-elle.
La Ville pense à une prochaine exposition des œuvres de l’artiste à Ajaccio. Cette dernière a offert une de ses toiles à la municipalité.
Douze jeunes talents sur plus de 500 candidats ont été récompensés cette année, dans les catégories « Peinture sur Papier », « Dessin » et « Photographie » ainsi que pour le « Prix Façade ». Ce prix est représentatif de la diversité des expressions artistiques contemporaines et du monde puisque diverses nationalités étaient représentées.
Camille Pozzo di Borgo a voulu en exécutant son tableau « Les Trois Sœurs » mélanger son visage et celui de ses sœurs, avec des superpositions tout en transparence d’organes et d’os, afin créer des êtres hybrides qui appelle la réflexion. On assiste à une technique maitrisée, un questionnement sur l’identité, le corps, sa représentation sans tenir compte de l’apparence. Une pièce qui reflète son vécu et celle de sa famille puisque l’œuvre originelle comportait les portraits des parents de Camille, « un peu comme un arbre généalogique » confiera-t-elle.
La Ville pense à une prochaine exposition des œuvres de l’artiste à Ajaccio. Cette dernière a offert une de ses toiles à la municipalité.