Il est bon de savoir que les Etats généraux de l’alimentation, lancés le 20 juillet 2017 par le Premier ministre et le Ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation, s’articulent autour de deux chantiers : permettre aux agriculteurs de vivre du juste prix payé, de permettre à tous dans la chaîne de valeur de vivre dignement et permettre à chacune et chacun d’avoir accès à une alimentation saine, durable, sûre.
Pour une alimentation saine…
Il a donc été souhaité par le gouvernement que les préfets, Chambres d’Agriculture et les régions puissent s’emparer de ce sujet au niveau local pour faire remonter des spécificités et faire des propositions. Les états généraux ont été donc lancés dans le cadre de la nouvelle mandature par le président lui-même, dont les premières pistes de travail ont d’ailleurs été rendues publiques le 11 octobre dernier à Rungis. La première phase était principalement axée sur la juste rétribution des agriculteurs.
Mercredi il s’agissait de la seconde phase de travaux avec des ateliers de 8 à 13, principalement axés sur la notion « pour une alimentation saine, durable, équilibrée et juste, à savoir une adaptation de la politique alimentaire aux besoins des territoires… »
Explications avec Mme Sylvie Malezieux, directrice régionale adjointe de l’Agriculture, de l’alimentation et de la forêt :
« Cette en effet une journée importante, en fait une déclinaison qui se veut locale, territoriale, d’un événement qui se tient au niveau national. Cette séquence nationale est chapeautée par un atelier transversal qui vise à reprendre toutes les propositions des ateliers nationaux afin de tracer ce qui pourrait être de possibles perspectives politiques, stratégiques, financières et de recherche. En Corse, le préfet a souhaité que l’on puisse décliner cette journée afin de poser un cadre commun à toutes les personnes présentes. Nous aurons une table ronde les parties prenantes ont été invitées, à savoir l’environnement, la distribution, les consommateurs, la Chambre Régionale d’Agriculture l’ODARC, l’enseignement agricole. »
Après une table ronde, chacun a pu s’exprimer à travers les trois ateliers mises en place : Un atelier organisé par la DRAF et co-animé par Mme Malezieux et Patrick Vinciguerra de RCFM, un deuxième piloté par la DREAL avec M. Orsini de l’Université de Corse et un troisième, enfin, avec l’Assemblée et les Chambres d’Agriculture, coordonné par le président de la chambre régionale, Joseph Colombani
Comme cela a été précisé par le directeur régional de l’Agriculture, l’ensemble de la formation sera collecté pour organiser des ateliers ou des OGA après quoi, avec la CTC, les points de sortie seront étudiés. Ce qui est important, l’ensemble des présentations faites hier seront postées sur le site de la DRAF de Corse dans un objectif de communication et de transparence.
« Au niveau national, nous sommes dans une démarche participative. Nous disposons d’une plate-forme où tout le monde est invité à poster ses idées. Un premier bilan fait état de chiffres satisfaisant. C’est encourageant pour l’avenir » a conclu Sylvie Malezieux.
Pour une alimentation saine…
Il a donc été souhaité par le gouvernement que les préfets, Chambres d’Agriculture et les régions puissent s’emparer de ce sujet au niveau local pour faire remonter des spécificités et faire des propositions. Les états généraux ont été donc lancés dans le cadre de la nouvelle mandature par le président lui-même, dont les premières pistes de travail ont d’ailleurs été rendues publiques le 11 octobre dernier à Rungis. La première phase était principalement axée sur la juste rétribution des agriculteurs.
Mercredi il s’agissait de la seconde phase de travaux avec des ateliers de 8 à 13, principalement axés sur la notion « pour une alimentation saine, durable, équilibrée et juste, à savoir une adaptation de la politique alimentaire aux besoins des territoires… »
Explications avec Mme Sylvie Malezieux, directrice régionale adjointe de l’Agriculture, de l’alimentation et de la forêt :
« Cette en effet une journée importante, en fait une déclinaison qui se veut locale, territoriale, d’un événement qui se tient au niveau national. Cette séquence nationale est chapeautée par un atelier transversal qui vise à reprendre toutes les propositions des ateliers nationaux afin de tracer ce qui pourrait être de possibles perspectives politiques, stratégiques, financières et de recherche. En Corse, le préfet a souhaité que l’on puisse décliner cette journée afin de poser un cadre commun à toutes les personnes présentes. Nous aurons une table ronde les parties prenantes ont été invitées, à savoir l’environnement, la distribution, les consommateurs, la Chambre Régionale d’Agriculture l’ODARC, l’enseignement agricole. »
Après une table ronde, chacun a pu s’exprimer à travers les trois ateliers mises en place : Un atelier organisé par la DRAF et co-animé par Mme Malezieux et Patrick Vinciguerra de RCFM, un deuxième piloté par la DREAL avec M. Orsini de l’Université de Corse et un troisième, enfin, avec l’Assemblée et les Chambres d’Agriculture, coordonné par le président de la chambre régionale, Joseph Colombani
Comme cela a été précisé par le directeur régional de l’Agriculture, l’ensemble de la formation sera collecté pour organiser des ateliers ou des OGA après quoi, avec la CTC, les points de sortie seront étudiés. Ce qui est important, l’ensemble des présentations faites hier seront postées sur le site de la DRAF de Corse dans un objectif de communication et de transparence.
« Au niveau national, nous sommes dans une démarche participative. Nous disposons d’une plate-forme où tout le monde est invité à poster ses idées. Un premier bilan fait état de chiffres satisfaisant. C’est encourageant pour l’avenir » a conclu Sylvie Malezieux.
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