La Corse constitue la plus petite région de France avec une superficie de 8 700 km², une population de 300 000 habitants et un PIB de 8,4 milliards d’euros.
L’île est reliée au continent par sept ports et quatre aéroports internationaux. Le tourisme et l’économie résidentielle constituent les deux leviers de croissance de la région. Depuis 1997, le PIB corse a toujours crû, ignorant les récessions, avec des taux atteignant 5 % les meilleures années (1997, 1999, 2006).
Depuis le début de la crise économique, l’économie corse est plus dynamique que l’économie française (+ 3 % de croissance annuelle contre + 1,3 % depuis 2007). Le dynamisme de l’économie corse repose sur le tourisme (hausse de l’afflux de voyageurs) et l’économie résidentielle (le solde migratoire positif alimente la consommation et l’investissement des ménages).
L’emploi non-marchand est surreprésenté
Depuis 2005, les créations d’emplois sont continues dans les activités tertiaires mais sont pour partie saisonnières. La construction a été un important pourvoyeur d’emplois jusqu’en 2012 mais la chute des mises en chantier s’est matérialisée par des pertes d’emplois (- 6 % en deux ans). La présence de services publics sur l’île et le développement de l’économie sociale et solidaire impliquent une surreprésentation de l’emploi tertiaire non-marchand : 39 % des emplois corses contre 31 % au niveau national. Le salaire annuel moyen s’élève à 22 800€
La deuxième région la plus attractive pour les migrations
Entre 1990 et 2014, la population corse a augmenté de 20 %, contre 13 % pour la population française.
La Corse est ainsi la deuxième région la plus dynamique démographiquement après le Languedoc-Roussillon - Midi-Pyrénées.
L’augmentation de la population (qui alimente notamment la demande de logement) repose sur les migrations, le taux de natalité étant bas (9,7 ‰ contre 12,3 ‰ au niveau national). Le vieillissement de la population et l’âge plutôt élevé des arrivants va réduire la part des habitants en âge de travailler. En 2040, les 20-59 ans ne représenteront que 44 % de la population de l’île (contre 47 % au niveau national).
Une région montagneuse et peu dense
La Corse n’accueille que trois villes de plus de 10 000 habitants, Ajaccio, Bastia et Porto-Vecchio. Largement occupée par des montagnes faiblement habitées, l’île est peu densément peuplée (37 habitants au km²).
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L'étude complète à partir du lien suivant : http://bit.ly/1Wteh4q
L’île est reliée au continent par sept ports et quatre aéroports internationaux. Le tourisme et l’économie résidentielle constituent les deux leviers de croissance de la région. Depuis 1997, le PIB corse a toujours crû, ignorant les récessions, avec des taux atteignant 5 % les meilleures années (1997, 1999, 2006).
Depuis le début de la crise économique, l’économie corse est plus dynamique que l’économie française (+ 3 % de croissance annuelle contre + 1,3 % depuis 2007). Le dynamisme de l’économie corse repose sur le tourisme (hausse de l’afflux de voyageurs) et l’économie résidentielle (le solde migratoire positif alimente la consommation et l’investissement des ménages).
L’emploi non-marchand est surreprésenté
Depuis 2005, les créations d’emplois sont continues dans les activités tertiaires mais sont pour partie saisonnières. La construction a été un important pourvoyeur d’emplois jusqu’en 2012 mais la chute des mises en chantier s’est matérialisée par des pertes d’emplois (- 6 % en deux ans). La présence de services publics sur l’île et le développement de l’économie sociale et solidaire impliquent une surreprésentation de l’emploi tertiaire non-marchand : 39 % des emplois corses contre 31 % au niveau national. Le salaire annuel moyen s’élève à 22 800€
La deuxième région la plus attractive pour les migrations
Entre 1990 et 2014, la population corse a augmenté de 20 %, contre 13 % pour la population française.
La Corse est ainsi la deuxième région la plus dynamique démographiquement après le Languedoc-Roussillon - Midi-Pyrénées.
L’augmentation de la population (qui alimente notamment la demande de logement) repose sur les migrations, le taux de natalité étant bas (9,7 ‰ contre 12,3 ‰ au niveau national). Le vieillissement de la population et l’âge plutôt élevé des arrivants va réduire la part des habitants en âge de travailler. En 2040, les 20-59 ans ne représenteront que 44 % de la population de l’île (contre 47 % au niveau national).
Une région montagneuse et peu dense
La Corse n’accueille que trois villes de plus de 10 000 habitants, Ajaccio, Bastia et Porto-Vecchio. Largement occupée par des montagnes faiblement habitées, l’île est peu densément peuplée (37 habitants au km²).
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L'étude complète à partir du lien suivant : http://bit.ly/1Wteh4q