De lourdes charges pèsent sur Gérard Giorgetti, 53 ans, auteur présumé de meurtre et d'actes de torture et de barbarie sur José Vicente-Garcia qu'il hébergeait depuis un moment chez lui aux Sables de Biguglia.
Vanina Lepaul-Ercole, substitut du procureur de la République de Bastia et le colonel commandant la section de recherches de gendarmerie de Corse n'ont manqué de les énumérer au cours de la conférence de presse donnée mardi après-midi à Bastia après la mise en examen et le placement en détention provisoire de celui que tout semble désigner comme le coupable de cet acte horrible : traces de sang de l'homme mutilé sur la voiture utilisée par Giorgetti, traces de sang de la victime encore, sur le congélateur de l'appartement où les deux hommes vivaient depuis un moment ensemble et sur son étendoir où elles se mêlaient, selon le substitut du procureur et les gendarmes, aux traces ADN de l'auteur présumé.
Cette accumulation de charges a fini de convaincre le magistrat-instructeur qui, en molins de 1h30 a mis Gérard Giorgetti en examen pour "meurtre précédé, accompagné ou suivi d'actes de barbarie."
Mais quant à savoir quand, pourquoi et comment un tel acte a t-il pu être perpétré, magistrat et enquêteurs ont été incapables de l'affirmer.
Au-delà du déroulement de l'enquête depuis la découverte mardi dernier du corps horriblement mutilé de José Vicente-Garcia, puis, le lendemain, de ses membres en Balagne nul n'a voulu s'aventurer une quelconque hypothèse.
On a tout juste révélé que c'est sans doute avec un couteau que le corps, avait été amputé de sa tête et de ses membres, et que sans doute avait-il été réfrigéré avant d'être abandonné.
Gérard Giorgetti, qui nie les faits qui lui sont reprochés, a un passé judiciaire très lourd : il a été condamné à 9 reprises dont une condamnation à 11 ans de réclusion criminelle pour "tentative de meurtre" dans les Bouches-du-Rhône et une seconde à 12 ans de réclusion criminelle pour des "violences ayant entraîné la mort sans la donner" en Haute-Garonne.
" A ce stade des investigations il est présumé innocent et encourt la réclusion criminelle a perpétuité" a précisé le substitut du procureur de la République.
Sur le terrain les gendarmes recherchent toujours la tête de la malheureuse victime de cet horrible fait-divers.
Vanina Lepaul-Ercole, substitut du procureur de la République de Bastia et le colonel commandant la section de recherches de gendarmerie de Corse n'ont manqué de les énumérer au cours de la conférence de presse donnée mardi après-midi à Bastia après la mise en examen et le placement en détention provisoire de celui que tout semble désigner comme le coupable de cet acte horrible : traces de sang de l'homme mutilé sur la voiture utilisée par Giorgetti, traces de sang de la victime encore, sur le congélateur de l'appartement où les deux hommes vivaient depuis un moment ensemble et sur son étendoir où elles se mêlaient, selon le substitut du procureur et les gendarmes, aux traces ADN de l'auteur présumé.
Cette accumulation de charges a fini de convaincre le magistrat-instructeur qui, en molins de 1h30 a mis Gérard Giorgetti en examen pour "meurtre précédé, accompagné ou suivi d'actes de barbarie."
Mais quant à savoir quand, pourquoi et comment un tel acte a t-il pu être perpétré, magistrat et enquêteurs ont été incapables de l'affirmer.
Au-delà du déroulement de l'enquête depuis la découverte mardi dernier du corps horriblement mutilé de José Vicente-Garcia, puis, le lendemain, de ses membres en Balagne nul n'a voulu s'aventurer une quelconque hypothèse.
On a tout juste révélé que c'est sans doute avec un couteau que le corps, avait été amputé de sa tête et de ses membres, et que sans doute avait-il été réfrigéré avant d'être abandonné.
Gérard Giorgetti, qui nie les faits qui lui sont reprochés, a un passé judiciaire très lourd : il a été condamné à 9 reprises dont une condamnation à 11 ans de réclusion criminelle pour "tentative de meurtre" dans les Bouches-du-Rhône et une seconde à 12 ans de réclusion criminelle pour des "violences ayant entraîné la mort sans la donner" en Haute-Garonne.
" A ce stade des investigations il est présumé innocent et encourt la réclusion criminelle a perpétuité" a précisé le substitut du procureur de la République.
Sur le terrain les gendarmes recherchent toujours la tête de la malheureuse victime de cet horrible fait-divers.
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