La bijouterie Danesi est sans doute l'une des plus anciennes enseigne de la ville. C'est aussi l'une des bijouteries qui commercialise des montres et des bijoux de très grande valeur.
C'est sans doute pour cette raison, que ce jeudi matin sur le coup de 11 heures, au moment où le boulevard Paoli n'est pas particulièrement animé, qu'un trio de malfaiteurs - grimé - a décidé de s'attaquer à l'établissement où le petit-fils du propriétaire de l'enseigne vaquait à ses occupations habituelles.
Selon les premiers éléments de l'enquête, c'est d'abord un individu, seul, qui s'est présenté à l'entrée de la bijouterie avec presque immédiatement deux autres hommes dans son sillage.
Pendant que le premier brandit un pistolet les deux autres armés de marteau attaquent les vitrines où se trouvent montres et bijoux. Et, en moins de temps qu'il ne le faut pour l'écrire, font main basse sur tout ce qu'il se trouve à l'intérieur. Avant de s'éclipser rapidement et de s'évanouir dans les rues de la ville...
Déjà en Octobre
Un scénario qui fait penser à celui qui avait, déjà, eu pour cadre au mois d'Octobre dernier une autre bijouterie du boulevard Paoli. A l'époque trois braqueurs s'étaient attaqués à la bijouterie Vannucci. Après avoir réussi à s'introduire et placé le personnel sous la menace de leurs armes, ils avaient brisé toutes les vitrines qui se trouvaient à l'intérieur de l'établissement avant de disparaitre en l'espace de quelques minutes.
Ce jeudi encore, le préjudice subi qui n'a pas été établi, pourrait s'avérer, comme ce fut le cas à l'époque, particulièrement important.
L'enquête qui a été ouverte dès que l'alerte a été donnée a été confiée à la Police Judiciaire
Hors du commun
Il y a quelques années le même établissement avait fait l'objet d'un cambriolage hors du commun.
En Avril 1992 en effet, un "casse" monté de mains de maître, avait eu lieu aux dépens de la bijouterie.
Les auteurs du cambriolage, dont le butin avait été estimé entre 3 et 4 millions de francs, s'étaient introduits par effraction, entre 12 et 14 heures, dans l’appartement situé au dessus de la bijouterie, servant à l'époque de dépôt à la boutique. Une fois sur place, ils avaient percé un trou de 80 cm de diamètre dans le plancher avant d’avoir accès au faux plafond du magasin. Une échelle avait, alors, suffi pour descendre dans la bijouterie, où ils s'étaient sont abondamment servis. Avant de quitter les lieux munis de leur butin les malfaiteurs, avaient remis tout en place - faux plafond et verrous compris, ne laissant aucune trace visible de leur forfait.
C'est sans doute pour cette raison, que ce jeudi matin sur le coup de 11 heures, au moment où le boulevard Paoli n'est pas particulièrement animé, qu'un trio de malfaiteurs - grimé - a décidé de s'attaquer à l'établissement où le petit-fils du propriétaire de l'enseigne vaquait à ses occupations habituelles.
Selon les premiers éléments de l'enquête, c'est d'abord un individu, seul, qui s'est présenté à l'entrée de la bijouterie avec presque immédiatement deux autres hommes dans son sillage.
Pendant que le premier brandit un pistolet les deux autres armés de marteau attaquent les vitrines où se trouvent montres et bijoux. Et, en moins de temps qu'il ne le faut pour l'écrire, font main basse sur tout ce qu'il se trouve à l'intérieur. Avant de s'éclipser rapidement et de s'évanouir dans les rues de la ville...
Déjà en Octobre
Un scénario qui fait penser à celui qui avait, déjà, eu pour cadre au mois d'Octobre dernier une autre bijouterie du boulevard Paoli. A l'époque trois braqueurs s'étaient attaqués à la bijouterie Vannucci. Après avoir réussi à s'introduire et placé le personnel sous la menace de leurs armes, ils avaient brisé toutes les vitrines qui se trouvaient à l'intérieur de l'établissement avant de disparaitre en l'espace de quelques minutes.
Ce jeudi encore, le préjudice subi qui n'a pas été établi, pourrait s'avérer, comme ce fut le cas à l'époque, particulièrement important.
L'enquête qui a été ouverte dès que l'alerte a été donnée a été confiée à la Police Judiciaire
Hors du commun
Il y a quelques années le même établissement avait fait l'objet d'un cambriolage hors du commun.
En Avril 1992 en effet, un "casse" monté de mains de maître, avait eu lieu aux dépens de la bijouterie.
Les auteurs du cambriolage, dont le butin avait été estimé entre 3 et 4 millions de francs, s'étaient introduits par effraction, entre 12 et 14 heures, dans l’appartement situé au dessus de la bijouterie, servant à l'époque de dépôt à la boutique. Une fois sur place, ils avaient percé un trou de 80 cm de diamètre dans le plancher avant d’avoir accès au faux plafond du magasin. Une échelle avait, alors, suffi pour descendre dans la bijouterie, où ils s'étaient sont abondamment servis. Avant de quitter les lieux munis de leur butin les malfaiteurs, avaient remis tout en place - faux plafond et verrous compris, ne laissant aucune trace visible de leur forfait.
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